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Dossier : slasher sanglant cherche victime sexy de préférence

Betsie Rue dans Mortelle St-Valentin. Elle a de l'argument pour convaincre !

Betsie Rue s'éclate dans Mortelle St-Valentin et le spectateur aussi

Linnea Quigley dans le retour des morts-vivants. Elle croit vraiment que c'est en se trémoussant qu'elle va les faire fuir, les zombies ?

Willa Ford, un poil exhibitionniste dans Vendredi 13

Betsie Rue doit être vêtementophobe !

Vendredi 13 : un film plus sexy qu'il n'y paraît !

Le réconfort après l'effort, et c'est vendredi 13, encore!

America Olivio dans Vendredi 13. Hot, very hot !

Teresa Palmer prend bien soin de son otage dans Restreint

Sexe and Death, voilà un film d'horreur qui porte bien son nom !

Jenna Jemeson dans Zombie Stripper. Sexy stripper, plutôt !

Teresa Palmer tente de se rendre sympathique dans Restreint. Réussi, non?

Devil's Reject reprend les codes des 70's et brise les tabous

Devil's Reject, où la fabuleuse histoire d'un pistolet chanceux

Devil's Reject, quand l'érotisme se lie à la violence

Brigitte Lahaie dans Fascination. Non, ça n'a rien à voir avec Twilight !

Helena Mattson dans Species 4, transformation réussie !

L'Enfer des Zombies...infernal, vraiment ?

Jana Kaderbkova, bien installée pour promouvoir Hostel

Apparemment, il y a de l'animation dans cet Hostel !

Cerina Vincent dans Cabin Fever

Chelan Simmons super sexy dans Destination finale 3

Barabara Nedeljakova dans Hostel. C'est un film sur quoi déjà? La torture ? On dirait pas !

Chrystal Lowe fait bronzette dans Destination Finale 3

A l’occasion de la sortie de Destination Finale 4 nous avons eu envie de revenir sur un des gimmicks des films gore : les scènes érotico-gore (souvent erotico-comico-gore) qui parsèment quasi systématiquement ces films de genre. Motif récurrent de ce type de films : une jolie jeune femme, dénudée, est sur le point d’être tuée. Elle est belle, nue, elle crie fort, puis elle meurt dans d’atroces souffrances ! Il faut dire qu’il ne fait pas bon être une jolie jeune femme dans un slasher en bonne et due forme. On termine généralement dans un drôle d’état. Un argument supplémentaire pour la production d’attirer des clients masculins qui apprécieront d’autant mieux le film qu’ils regardent que la chair fraîche y apparaît sous diverses formes. Sans doute est-ce aussi pour contrebalancer les moments de tensions que ces passages erotico-teen (comprenez d’un érotisme frémissant tout juste destiné aux adolescents) sont ainsi distillés au gré des Vendredi 13, Cabin Fever et autres Hostel. Comme pour mieux souligner le lien entre les pulsions de mort et les pulsions sexuelles si chères à ce bon vieux Sigmund Freud ? Ou simplement pour mieux nous parler de ces instincts animaux qui font, de façon viscérale, ce que nous sommes réellement.