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Introduites par une longue séquence live bien plus accrocheuse que celle du premier épisode, les nouvelles aventures d’Arthur se prolongent pied au plancher dans un univers à la richesse visuelle et à l’accomplissement technique eux aussi supérieurs.
Toutes les critiques de Arthur et la vengeance de Maltazard
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Plus d'action, un mélange de personnages réels et d'animations 3D atteignant un niveau de quasi perfection : on se replonge avec délice dans ces aventures souterraines pleines de poésie, d'humour et d'entrain (...)
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Dès les premières secondes on est ébloui par la virtuosité de l'animation réalisée par le studio français BUF, digne d'un Pixar ou d'un Dreamworks. Luc Besson dose à la perfection images animées et "live", scènes trépidantes comme celles de "Paradise Alley" en référence à Blade Runner ou séquences émotion avec, toujours à la clé, l'amour et le respect de la nature. Ce second volet des aventures d'Arthur est un pur bonheur.
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(...) c'est du côté du rythme et du scénario que cet opus-là déçoit. Quand enfin, le film s'emballe, ça s'arrête. C'est comme si on avait assisté à toute la mise en place d'un repas sans goûter une miette. Rageant ! Il faudra donc patienter dix mois pour connaître la suite.
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Les effets spéciaux, les images 3D mélangées aux prise de vues réelles, les décors -le film se déroulant dans une petite ville des Etats-Unis a été entièrement tourné en Normandie- la musique d’Eric Serra et la lumière de Thierry Arbogast, fidèles complices de Besson, font de ces nouvelles aventures un merveilleux spectacle pour les petits. Une heure trente quatre de projection devant lesquelles les plus jeunes, à n’en pas douter, frissonneront et riront.
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(..) cet épisode, moins divertissant que le premier, n'est qu'un récit de transition. Le deuxième pas de Besson dans l'animation pour enfants déçoit un peu.
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Le second épisode qui remplacera le traditionnel Disney de Noël cette année, soit trois ans après les débuts du nain vert sur grand écran, est en tout point supérieur à son cadet. Besson s’est lâché dans les moyens, la technique et la réalisation ; son métrage est esthétiquement une grosse tuerie de couleurs qui nourrit tout un univers miniature. Les décors visités par une caméra élégamment fluide sont d’une belle profondeur et fourmillent de détails truculents. Avec bonhommie et un plaisir non dissimulé, Besson se laisse aller dans ses délires, faisant montre d’une ambition digne des Pixar et autres productions Dreamworks, mais en gardant cette touche canaille qui est l’apanage de sa boîte, EuropaCorp.
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Arthur et la vengeance de Maltazard tient ses promesses. Le spectateur retrouve de vieux amis dans un univers d'une grande richesse visuelle. Si les passages en prises de vues réelles sont moins rythmés que les séquences animées, l'ensemble donne envie de voir la suite, attendue fin 2010.
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L'animation numérique des personnages et de l'univers souterrain des Minimoys est désormais au point, manque toujours un moteur dramatique qui donnerait un peu d'allant à l'ensemble. Certes le film se termine en laissant Arthur dans une position très délicate, mais le suspense n'est guère angoissant et l'on attendra sans inquiétude excessive que le troisième épisode de la trilogie sorte, l'an prochain.
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Dès la scène d'ouverture d'Arthur et la vengeance de Maltazard, il met le paquet : branle-bas de combat du peuple de l'herbe en 3D remuante et rutilante. Techniquement, rien à dire, c'est scotchant : pour son Jardiland, Besson n'a pas lésiné sur les moyens. En revanche, côté scénario, c'est Nunucheland. Quand on veut faire son Star Wars, même en mini, même en animation, il faut autre chose qu'un prêchi-prêcha écolo et de la « poésie » de classe maternelle. Assommant si on a plus de 5 ans...
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Arthur et la Vengeance de Maltazard ressemble surtout à un long prologue qui n'en finit plus de mettre en place les situations sans bénéficier lui-même d'une intrigue digne de ce nom, les véritables péripéties étant visiblement réservées à Arthur et la guerre des deux mondes dont la sortie est programmée pour octobre 2010.