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Première
par Christophe Narbonne
Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau fim du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont
on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.
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Première
par Christophe Narbonne
Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau fi lm du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.
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Première
par Christophe Narbonne
Produit avec la bénédiction du groupe Amaury (la société qui gère le Tour de France), le nouveau film du réalisateur de Jean-Philippe suscite un certain embarras, indépendamment de son scénario qui pédale dans la semoule dès le premier col scénaristique. Voilà donc un mec ordinaire, paré de toutes les vertus (droit, courageux, ayant le sens de l’effort et des responsabilités), symbole d’une France travailleuse un peu déconsidérée mais qui n’a pas perdu tout espoir. Pourquoi pas. Là où ça se gâte, c’est quand la parabole prend le chemin de la réhabilitation d’un sport miné par le dopage et la suspicion à travers le personnage du méchant, sorte de Lance Armstrong italien, arrogant et antipathique, dont
on finira par nous révéler l’intégrité absolue. À ce niveau-là, ce n’est plus du cinéma mais du marketing.