Toutes les critiques de Une enfance

Les critiques de Première

  1. Première
    par Isabelle Danel

    L’été précédant son entrée en sixième après plusieurs redoublements, Jimmy, 13 ans, est livré à lui-même. Il veille sur sa mère immature et droguée, sur son frère insouciant et même sur son beau-père, en colère contre la terre entière (le gouvernement, les immigrés, etc.). C’est le jeune Alexi Mathieu, à la fois buté et ouvert au monde, qui incarne avec force ce petit bonhomme plein d’élan, dont le chemin semé de pièges croise parfois des mains tendues, comme celles de l’instituteur ou du prof de tennis. Aussi contrastée que son décor (une rue ouvrière dans une ville de l’Est entourée par la campagne), cette chronique, sombre sur le fond bien que constamment solaire à l’image, est d’une justesse bouleversante. I

Les critiques de la Presse

  1. Le JDD
    par Baptiste Thion

    (...) un drame sobre et délicat, quasi impressionniste, dans lequel une poésie bucolique atténue la violence familiale, conférant à ce film un peu de lumière et d’espoir. Alexi Mathieu (Jimmy) s’y révèle un jeune acteur prometteur.

  2. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Noir et dur.

  3. Le JDD
    par Baptiste Thion

    (...) un drame sobre et délicat, quasi impressionniste, dans lequel une poésie bucolique atténue la violence familiale, conférant à ce film un peu de lumière et d’espoir. Alexi Mathieu (Jimmy) s’y révèle un jeune acteur prometteur.

  4. Télérama
    par Pierre Murat

    Comme d'habitude, la mise en scène de Philippe Claudel est soignée, très "qualité France" des années 1950, misant sur l'émotion surjouée.

  5. Télérama
    par Pierre Murat

    Comme d'habitude, la mise en scène de Philippe Claudel est soignée, très "qualité France" des années 1950, misant sur l'émotion surjouée.

  6. Le Figaro
    par Nathalie Simon

    Noir et dur.

  7. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    En dépit de sa sincérité, ce réalisme social moderne qui pourrait admirablement fonctionner en littérature avance au cinéma avec des semelles nettement plus chargées.

  8. Le Parisien
    par Pierre Vavasseur

    En dépit de sa sincérité, ce réalisme social moderne qui pourrait admirablement fonctionner en littérature avance au cinéma avec des semelles nettement plus chargées. 

  9. Nouvel Obs
    par La rédaction de Nouvel Obs

    On est surpris par l’âpreté et la mesure de son nouveau film.

  10. Nouvel Obs
    par La rédaction du Nouvel Obs

    On est surpris par l’âpreté et la mesure de son nouveau film.

  11. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    Si son jeune interprète est incandescent, le scénario, lui, offre trop de figures convenues. Dommage.

  12. StudioCiné Live
    par Sophie Benamon

    Si son jeune interprète est incandescent, le scénario, lui, offre trop de figures convenues. Dommage. 

  13. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    Écrasé par les clichés (sa caricature des prolétaires) et des dialogues démonstratifs, le film se dilue dans une mise en scène sans caractère et une trame répétitive, à laquelle seul le drame viendra mettre fin.

  14. Le Monde
    par Mathieu Macheret

    Écrasé par les clichés (sa caricature des prolétaires) et des dialogues démonstratifs, le film se dilue dans une mise en scène sans caractère et une trame répétitive, à laquelle seul le drame viendra mettre fin.

  15. A voir à lire
    par Jean-Rémi Ducourtioux

    (...) à trop vouloir donner, Philippe Claudel distribue trop, sans vrai discernement, et saute à pieds joints dans la balourdise.

  16. A voir à lire
    par Jean-Rémi Ducourtioux

    (...) à trop vouloir donner, Philippe Claudel distribue trop, sans vrai discernement, et saute à pieds joints dans la balourdise. 

  17. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    La mise en scène se vautre dans des clichés à haute valeur symbolique qui trahissent l’insupportable suffisance avec laquelle Claudel traite son sujet. Il ne s’agit pas de rajouter "une" devant l’enfance du titre pour nous faire croire qu’il y a ici le moindre soupçon d’humilité.

  18. Critikat.com
    par Clément Graminiès

    La mise en scène se vautre dans des clichés à haute valeur symbolique qui trahissent l’insupportable suffisance avec laquelle Claudel traite son sujet. Il ne s’agit pas de rajouter "une" devant l’enfance du titre pour nous faire croire qu’il y a ici le moindre soupçon d’humilité.