Invité hier, dimanche 13 avril 2014, du 20 heures de France 2, l’acteur français a surpris les téléspectateurs avec ses déclarations politiques surprenantes et parfois décousues.
Si habituellement le JT ne prête pas à sourire, celui de France 2 a amusé certains téléspectateurs hier soir. La faute à Francis Huster dont les commentaires sur Barack Obama, la situation en Ukraine ou encore Manuel Valls ont surpris la galerie. Invité de Laurent Delahousse, le comédien a en effet dévoilé certains avis tranchés et surprenants sur les sujets qui font l’actualité.Évoquant Barack Obama, il a confié : "Je sais bien que Roosevelt a une station de métro, mais moi je n’oublierai jamais que Roosevelt est resté les bras croisés pendant deux ans en 39 et 40. L’Amérique ne s’est pas levée pour défendre le monde, elle s’est levée quand Pearl Harbor a eu lieu. Depuis 2 ou 3 ans, je suis tétanisé par Barack Obama, qui est beau, qui est magnifique. J’étais vraiment "Obamisque" comme on dit, je trouvais cet homme extraordinaire. Enfin un noir à la tête des Etats-Unis, un homme qui en plus avait du caractère. Que fait-il ? Il a les bras croisés." Il poursuit en lançant : "Qu’est ce qui se passe en Ukraine ? Est-ce que Poutine est en train de prendre la main sur des pays de manière volontaire ou involontaire ? Que fait Obama ? Ce que j’explique. On va parler juste deux secondes. J’ai toujours soutenu Manuel Valls, pour une raison très simple, je trouve qu’il a du caractère. Tant que l’Equipe de France avait un patron sur le terrain. Si on imagine que François Hollande est le sélectionneur, comme Jacquet était le sélectionneur, sur le terrain il y avait Didier Deschamps, il y a maintenant Manuel Valls. Et tant qu’il y a eu Deschamps, l’Equipe de France a gagné. Parce que 11 joueurs ne peuvent pas gagner sans patron.""Et je pense que le monde a besoin d’un patron. Je suis terrorisé, estomaqué par le fait que Barack Obama a peut-être oublié d’être ce patron. Il doit être patron du monde. Parce que si les États-Unis n’ont pas un patron, le monde tremble. Des milliers de morts… Et l’Europe ? Est-ce qu’il aime vraiment l’Europe ? Est-ce que Roosevelt aimait vraiment l’Europe ? Moi je pense à tous ceux qui sont morts. 57 millions de morts pendant la seconde guerre mondiale...", a-t-il conclu.
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