Fils d'artistes et metteur en scène estimé à Broadway, il est célèbre auprès des cinéphiles pour un film qu'il a signé, mais dont il n'aurait réalisé qu'une infime partie, la Femme à abattre (The Enforcer, 1951), excellent policier désormais attribué avec assez de certitude à Raoul Walsh. Auparavant, il avait tourné deux histoires pour Bette Davis, dont une comédie vive et acide, la Mariée du dimanche (June Bride, 1948). Sa filmographie se résume à sept titres et ne semble guère receler de trésors cachés.