Dès 1910, le Film d'Art emploie beaucoup ce comédien connu au théâtre et qui paraît dans des films de Gaston Roudès. On le voit ensuite dans Chantage (Henri Debain, 1928) et Hara Kiri (Marie-Louise Iribe, id.). Le parlant exploite à fond son jeu mélodramatique, son masque crispé, son regard larmoyant : la Robe rouge (Jean de Marguenat, 1933), la Flambée (id., 1934), le Petit Jacques (Gaston Roudès, id.), Poliche (A. Gance, id.). Mais on le trouve aussi dans Jean de la Lune (J. Choux, 1931), Un soir de rafle (C. Gallone, id.), la Rue sans nom (P. Chenal, 1933) et il incarne avec bonheur Monsieur des Lourdines (Pierre de Herain, 1943).