Il transporte au cinéma le répertoire égrillard du théâtre du Palais-Royal, dont il reste longtemps le pensionnaire notoire. Dans la grosse farce, de gros succès : Train de plaisir (L. Joannon, 1936), Tricoche et Cacolet (P. Colombier, 1938). On le voit aussi, trépidant et ahuri, dans Paris-Méditerranée (J. May, 1932), Dora Nelson (René Guissart, 1935), le Roi (Colombier, 1936). Quelques films exceptionnels : Donne-moi tes yeux (S. Guitry, 1943) ; Elena et les hommes (J. Renoir, 1956) ; Ni vu ni connu (Y. Robert, 1958) ; la Chambre ardente (J. Duvivier, 1962).