Lina et Doon vivent dans la cité d’Ember. Sa particularité ? C’est une ville qui n’a pas de lumière naturelle, tout vient de gros projecteurs qui arrosent la ville de 21 h à 5 h du matin. Mais des coupures de courant deviennent de plus en plus fréquentes, laissant la ville dans l’obscurité la plus totale. Lina découvre un message secret qu’elle va devoir décrypter avec l’aide de Doon s’ils veulent sauver les habitants d’Ember de cette sombre menace. Jeanne DuPrau installe la ville et les habitants dès les premières lignes, nous habituant à leurs coutumes jusqu’à les rendre naturelles. Très bien écrit, on suit les aventures de ces deux enfants qui découvrent qu’il y a peut-être une autre ville ailleurs, un autre endroit où la clarté serait naturelle. Même avec un fond d’écologie et de prises de position contre le pouvoir, les jeunes lecteurs peuvent facilement s’identifier à ces deux héros. Arrivé à la fin du livre, on est presque déçu de ne pas avoir la suite à se mettre sous la dent. Ce qui est maintenant possible avec le deuxième volet, Le peuple d’en haut.Par Claire Fortier-DurandFiche technique :Déjà disponible306 pagesGallimard JeunesseFolio junior Tout savoir sur La Cité de l’ombre
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