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Sans savoir réellement comment terminer son film, qui ressemble plus à épisode de "Buffy contre les vampires" le scénariste Stuart Beattie (G.I. Joe : l'Ascension du Cobra) utilise un des plus vieux tours d'Hollywood mais néanmoins efficace : Tout faire sauter à l'écran.
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Pour être fair-play : Eckhart est physiquement impressionnant, Bill Nighy et son sourcil levé fait de son mieux dans le rôle du démon Naberius. Mais le film manque cruellement de supplément d'âme.
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Au mieux "I Frankenstein", fournit un bon prétexte pour s'assoir dans une pièce chauffée à manger du pop-corn.
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La créature du roman de Mary Shelley, devenue un surhomme, est au cœur de ce nanar heureusement traversé par des moments de folie qui réveillent le spectateur.
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Truffé d’effets spéciaux et de séquences d’action plutôt bien fichues, le film se déroule dans un décor gothique crépusculaire assez convaincant (...) Malgré un scénario peu subtil, Aaron Eckhart parvient à donner une consistance psychologique au héros.
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Si I, Frankenstein mérite une tape méritoire dans le dos, c'est pour le niveau de ses effets spéciaux et la clarté surprenante de son action. Mais ce n'est pas suffisant pour garder le spectateur éveillé.
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Au fil d'un scénario brouillon et sans originalité, cette adaptation a l'idée saugrenue de confronter sa créature à une série de personnages fantastiques, tous plus caricaturaux les uns que les autres.
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Ne cherchez pas le héros culte de Mary Shelley, il n'existe plus. Dans cette histoire improbable au début calamiteux, la créature de Frankenstein devient une sorte de superhéros immortel et sexy, qui se bat comme dans la série Buffy contre les vampires. Une série B gothique pour les fans du genre.
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Bref, on va se battre (quelques belles chorégraphies ici et là), on va aller de rebondissements (prévisibles) en rebondissements (encore plus prévisibles), et on va rire devant certains effets spéciaux (ce n'est pas le but, mais c'est le résultat). Reste la présence d'Aaron Eckhart, qui fait toujours une belle image et incarne là probablement le plus sexy des Frankie. Suffisant pour qu'I, Frankenstein réussisse au box-office façon Hansel & Gretel? Pas sûr.
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Le jeu d'Eckhart est monotone, il grince des dents comme si quelqu'un avait une arme à feu sur lui et une autre sur sa famille.
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Le Frankenstein sans humour, banal et bavard qui nous est servi ici, nous fait se demander si Docteur, dans tout son rapiéçage n'a pas oublié le cerveau...
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Variation balourde autour de la célèbre créature, désormais prise dans une lutte entre le bien (des gargouilles...) et le mal (des démons en costard). Ridicule, sous toutes les coutures.
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Tout à fait sot, indolent, terne et insensé.
I, Frankenstein