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Pas question ici de remonter dans le temps pour assassiner Hitler. Tim (Domhnall Gleeson, translucide), un garçon inoffensif qui accroche des posters d’Amélie Poulain dans sa chambre, ne peut intervenir que sur le cours de son propre destin. En usant et en abusant de la touche rewind pour un oui ou pour un non (et si je voyageais cinq fois dans le temps pour changer le discours de mon témoin de mariage ?), le scénario épuise un concept qui finit par virer au pur gimmick. À force de rembobiner le film avec tous ses personnages furieusement gentils, on a l’impression de faire du surplace, alors même que l’histoire s’étale sur plusieurs années. Un paradoxe dont Il était temps a du mal à se remettre malgré le savoir-faire évident de Richard Curtis (roi de la romcom british pas conne à qui l’on doit notamment Coup de foudre à Notting Hill, les deux Bridget Jones, Love Actually...) et la nouvelle frange de Rachel McAdams, toujours aussi cute.
Toutes les critiques de Il était temps
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le bonheur, c’est bien le thème d’Il était temps, un film qui, au début, semble prendre son temps, jusqu’à ce qu’on comprenne qu’il ne s’agit pas seulement d’une gaudriole sur les voyages temporels, mais d’une comédie dramatique sur le temps qui passe. De quoi offrir quelques beaux et précieux moments de vie, capturés avec habilité grâce au talent de Richard Curtis, le scénariste de Love Actually et de Quatre mariages et un enterrement, qui met tout son humour et son humanité au service de son nouveau film.
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Retour dans le monde merveilleux de Richard Curtis où amour rime avec humour, où intelligence rime avec romance et où ce mini-avis est finalement 1000 fois plus niais que le film ne le sera jamais.
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Emmené par un casting génial, l'une des constantes des comédies anglaises, le film est porté par son couple principal composé de Domhnall Gleeson (le fils de Brendan !) et Rachel McAdams. Entourés de seconds rôles parfaits, ils sont surtout soutenus par l'impérial Bill Nighy qui trouve ici le plus beau rôle de sa carrière et nous offre une relation père/fils absolument sublime qui finit de faire de ce About time (titre original bien plus fin) l'une des plus habiles réflexion sur le bonheur de ces dernières années. Un film pop, drôle, triste et constamment inventif.
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Un bonheur de comédie romantique à l'émotion jamais fabriquée.
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Quand il s'agit d'amour, Richard Curtis excelle comme d'habitude.
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Voyager dans le temps pour trouver l'amour. Scénariste de Coup de foudre à Notting Hill et réalisateur de Love Actually, Richard Curtis épargne à cette comédie romantique paradoxes temporels et autres complexités scénaristiques propres au thème pour employer son talent à faire rire et à parler d'amour.
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Le pape du feel good movie encastre une chronique à la Sautet dans un canevas fantastique. Plaisant.
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Avec Il Etait Temps, Richard Curtis a rajeuni la comédie romantique.
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Richard Curtis renouvelle un peu le genre de la comédie romantique, à l'aide d'un soupçon de "Retour vers le futur". Malgré les incohérences de scénario, le couple de premier plan est attendrissant et Bill Nighty, qui joue le père du héros confirme un potentiel comique intemporel.
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Richard Curtis réinvente la comédie romantique. Pas besoin d’effets spéciaux pour nous faire accepter son postulat fantastique, le cinéaste se concentre sur l’essentiel, les sentiments. Cette chronique résolument moderne et teintée de mélancolie s’émancipe pour développer son véritable sujet : la relation père-fils et la transmission. Touchant.
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Excellent scénariste (Coup de foudre à Notting Hill), Richard Curtis est un réalisateur peu inspiré. Il était temps est trop mou et trop long. Mais les acteurs font leur miel des situations savoureuses et des dialogues, souvent drôles.
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Comédie romantique mâtinée de fantastique, “Il était temps” prend le risque de dérouter le public, mais en raison d'une seconde partie beaucoup plus dramatique que comique.
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Il Etéit Temps possède de beaux atouts: Domnhall Gleeson (fils de l'acteur irlandais Brendan Gleeson, tout aussi roux), dans le rôle principal, trouve l'équilibre entre maladresse et attirance, Rachel McAdams est irrésistible, comme toujours, et Bill Nighy surclasse tout dans le rôle du père.
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En réalisant ce qui est bien un conte fantastique, Richard Curtis prend le risque de s’éloigner de son domaine d’élection : le résultat est bancal, maladroit, pataud, mais profondément touchant – et c’est sans doute le plus vivant de tous ses projets à ce jour.
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Il était temps bénéficie d’atouts de choc, tels que l’humour british, l’entourage excentrique d’un héros plutôt ordinaire, l’histoire d’amour qui survit aux vents et tempêtes… Et, bien sûr, un casting quatre étoiles, porté par Domhnall Gleeson, dont la charmante maladresse rappelle Hugh Grant jeune, le toujours hilarant Bill Nighy et la superbe Rachel McAdams, reine de la romcom toutes catégories confondues. Une jolie fable qui ne craint pas les clichés.
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Un jeune homme découvre qu'il peut voyager dans le temps. Il utilise ce don du ciel pour vivre heureux avec la jeune femme de son choix et s'assurer d'une vie tout à fait normale. Cette tentative manquée de renouveler la comédie sentimentale aboutit à affadir aussi le film d'anticipation
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Dans cette famille bien trop proprette en laquelle on n’arrive pas à croire, un peu plus de noirceur, d’humour sardonique ou tout simplement de burlesque aurait pu ragaillardir les recettes rances. Il n’en est rien !
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Un récit mou qui s'emmêle les pinceaux entre comédie, romance et tire-larmes.