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A la gaieté et la fraîcheur du premier volet se cloue malheureusement une pointe redondante de vulgarité. Rien de vraiment désaréable dans l'ensemble, juste une irritation persistante. Les femmes, en général, et malheureusement Zoé Felix en particulier, peinent à étoffer leurs personnages tant ils sont peu écrits. Les hommes, en revanche, tellement surécrits, frisent la caricature.
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Après un premier opus frais, drôle et positif, le deuxième volet des aventures des Hommes du 21ème siècle est nettement moins sympathique. Même si l’on passe outre les multiples histoires de tromperies masculines, les dialogues et le scénario n’en sont pas moins creux et vulgaires.
Bienvenu à beaufland où toutes les blagues finissent par « bite » et où « Monique rit quand on la n… » !
Toutes les critiques de Le coeur des hommes 2
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Pour son deuxième volet, Le coeur des hommes s'est attendri. L'histoire d'amitié potache s'est transformée en chronique sentimentale, où l'émotion l'emporte à bon escient sur des moments vraiment drôles. Les personnages ont gagné en maturité, les relations en complexité, les acteurs en complicité, les comédiennes en importance.
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Alors que le premier opus naviguait en père peinard sur la grand-mare des canards, cette deuxième ode aux copains d'abord nous entraîne dans des eaux plus profondes. Graves même, mais parfois graveleuses. Cette fois, Marc Esposito opère ses hommes à coeur ouvert. En réalisant cette comédie cardiologique, Esposito tresse avec intelligence et subtilité quatre destinées emblématiques de la condition humaine en général, et masculine en particulier.
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(...) dans cette histoire de mecs un peu machos, très menteurs, tendrement obnubilés par leurs nanas, une fois encore, l'alchimie prend.
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Avec leurs mésaventures embrouillées et cocasses, les quatre potes semblent les fils des zozos imaginés autrefois par Yves Robert et Jean-Loup Dabadie pour le diptyque Un éléphant, ça trompe énormément et Nous irons tous au paradis. Mais des fils pâlichons, tout mous, presque exsangues, que les comédiens, malgré leur talent et la sympathie qu'on leur porte, ont bien du mal à faire vivre. Y a pas à dire : le cinéma de papa Robert avait du bon...
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S'il fallait trouver une raison d'être à ce film, ce serait sans doute les pistes qu'il indique aux programmateurs des chaînes françaises. Il y a là de quoi nourrir quelques épisodes d'une sitcom qui puiserait son suc dans les racines du vaudeville et de la gaudriole gaulois. D'ailleurs, l'impression vient à la vision de ce très long film d'être en train de regarder un DVD réunissant plusieurs épisodes d'une série et d'être incapable de trouver la touche arrêt.