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Déterminisme social rédhibitoire, la culture comme échappatoire et un amant manipulateur : ce premier film n’évite pas les stéréotypes en dépit du jeu tout en déséquilibre de la révélation Alicia Vikander.
Toutes les critiques de Pure
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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L'ascension et dégringolade : le film est centré sur le corps d'une actrice. Un happy end aussi improbable que réjouissant montre Katarina victorieuse. Economie de gestes et rigueur des plans : la pureté est aussi dans la mise en scène.
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On mettra le final expéditif et quelque peu discutable sur le compte d’une erreur de premier film et on retiendra l’utilisation de la musique pour sublimer les sens."
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La réalisation sagement dépressive enchâsse dans un même glacis banlieue anxiogène et opéra trop clinique pour être honnête mais Pure repose avant tout sur son actrice principale et révélation, Alicia Vikander.
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Le film est un trouble récit d'apprentissage, et surtout un très beau portrait de femme, interprété avec une grâce farouche par une jeune actrice encore inconnue, Alicia Vikander.
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Cherchant à s’affranchir du milieu défavorable dont elle est issue, une adolescente est engagée dans une salle de concert où elle découvre la puissance envoûtante du "Requiem" de Mozart et celle, ravageuse, de l’amour. Sur ce canevas initiatique, la jeune cinéaste dessine le chemin chaotique de son héroïne, malmenée entre fascination, obstination et manipulation. Et contrebalance la prévisibilité de son scénario par le choix d’une mise en scène rugueuse et revêche.
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Interprété avec une rare puissance émotionnelle par la jeune actrice Alicia Vikander, ce long-métrage passionnant se fait l’écho de l’actuelle lutte des classes en évitant soigneusement les lieux communs.