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Les critiques de Première

  1. Première
    par Didier Roth-Bettoni

    Des sujets passionnants se croisent ici : l’immigration illégale et l’homosexualité féminine, la peur de vieillir et l’instinct maternel... Trop, sans doute. Marco Simon Puccioni sait en revanche dessiner des personnages attachants (un couple féminin et un jeune clandestin tunisien) et diriger ses comédiens. Il fait même preuve d’une jolie sensibilité quand il se concentre sur les fêlures que sème le garçon entre les deux femmes. Il y a là une représentation des sentiments mêlés que l’Occident éprouve face à ceux qui veulent entrer sur son territoire. Et vice versa.