Brooke Shields a conclu un accord avec National Enquirer après que l’un de ses journalistes ait fait sortir la mère de l’actrice de la maison de repos dans le New Jersey le mois dernier. "Il y a deux semaines, Brooke Shields a été forcé de faire une révélation publique concernant sa mère, Teri Shields. Mme. Shields avait été soigné dans un établissement spécialisé quand un journaliste et un photographe travaillant pour Enquirer national l’ont faite sortir de la clinique privée. Le tabloïds avait l’intention de publier des informations », a reconnu Gerald B. Lefcourt, l'avocat de Brooke Shields, dans une interview exclusive au site People. "J'ai le plaisir d'annoncer que le National Enquirer a été décidé de ne pas publier cette histoire. Il devrait faire des excuses publiques. En échange, il a consenti à faire une donation généreuse pour une association sur Alzheimer." Au moment de l'incident, l'actrice avait déclaré à People qu'elle avait été "alertée par la Police Tappan que sa mère avait été autorisée à quitter l'établissement grâce à l’intervention de deux journalistes du National Enquirer ... qui avaient faussement prétendu être mes amis." Elle a ajouté : "ils s’en sont pris à ma mère âgée de 75 ans pour essayer de faire un scoop pour leur tabloïd. Chacun sait que lorsqu’on a un parent qui souffre de la démence ou l'Alzheimer, c'est une des expériences les plus difficiles à vivre pour un fils ou une fille. L'idée du National Enquirer national était de profiter de son état ! Ce qui est répréhensible et dégoûtant." Le journal avait répondu dans une déclaration : "un journaliste indépendant qui connaît Brooke Shield depuis plus de 10 ans s’était rendu jeudi dans l'établissement où Brooke dit avoir déplacer sa mère. Teri aurait demandé au journaliste de la prendre déjeuner et pour faire quelques commissions. Le journaliste indépendant a alors obtenu l’autorisation de l'établissement.">Brooke Shields, dans une interview exclusive au site People. "J'ai le plaisir d'annoncer que le National Enquirer a été décidé de ne pas publier cette histoire. Il devrait faire des excuses publiques. En échange, il a consenti à faire une donation généreuse pour une association sur Alzheimer." Au moment de l'incident, l'actrice avait déclaré à People qu'elle avait été "alertée par la Police Tappan que sa mère avait été autorisée à quitter l'établissement grâce à l’intervention de deux journalistes du National Enquirer ... qui avaient faussement prétendu être mes amis." Elle a ajouté : "ils s’en sont pris à ma mère âgée de 75 ans pour essayer de faire un scoop pour leur tabloïd. Chacun sait que lorsqu’on a un parent qui souffre de la démence ou l'Alzheimer, c'est une des expériences les plus difficiles à vivre pour un fils ou une fille. L'idée du National Enquirer national était de profiter de son état ! Ce qui est répréhensible et dégoûtant." Le journal avait répondu dans une déclaration : "un journaliste indépendant qui connaît Brooke Shield depuis plus de 10 ans s’était rendu jeudi dans l'établissement où Brooke dit avoir déplacer sa mère. Teri aurait demandé au journaliste de la prendre déjeuner et pour faire quelques commissions. Le journaliste indépendant a alors obtenu l’autorisation de l'établissement."
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