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Ce Quand Harry rencontre Sally" 2.0 dresse le portrait d’une génération Tinder, celle de trentenaires désillusionnés tellement exercés à cloisonner l’amour et le sexe qu’ils flippent à l’idée de les réconcilier. En bonne copine incestueuse, Alison Brie, vue dans "Mad Men" et "Community", passe le test du premier rôle. Le film, lui, se singularise en rappelant une chose toute simple : l’importance de l’amitié dans l’alchimie amoureuse.
Toutes les critiques de Jamais entre Amis
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Cette façon d’éviter de filmer frontalement le sexe, souvent reprochée au genre devient ici un atout, avec une tension sexuelle qui s’accroît à mesure que chacun y va de sa sale histoire offerte à l’autre.
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Malgré quelques longueurs et un happy end, hélas, inévitable, la réalisatrice évite le piège de la leçon moralisatrice et parvient à marier crudité et absence de vulgarité.
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C’est une vraie romcom. Une vraie de vraie, la meilleure depuis des années.
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On retient quelques scènes hilarantes et des interprètes au diapason.
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Délicieux mélange entre comique cocasse et humour plus subtil, ce divertissement de situation vaut aussi pour ses dialogues qui assurent brillamment les gags.
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N'attendez ni révélation ni révolution dans ce film sympathique et bien calibré. Juste un agréable moment de cinéma, sans temps morts ni prise de tête. Et c'est déjà beaucoup.
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Très sitcom, cette comédie romantique finit par bénéficier du charme de son actrice, Alison Brie. Sa fraîcheur s'avère bien utile...
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Ce principe d’égalité parfaite entre les deux protagonistes, et partant, entre les sexualités féminine et masculine, a beau produire quelques idées originales, il s’apparente plus à un catéchisme féministe qu’à une entreprise révolutionnaire.
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Ce film sans tabous n'est pas sans rappeler "Sex and the City" avec ses dialogues crus. Une comédie romantique pétillante, portée par la délicatesse d'Alison Brie et l'abattage impressionnant de son partenaire, Jason Sudeikis.
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L’esprit du classique de la comédie romantique "Quand Harry rencontre Sally", accommodé à la sauce salace de Sex & the City. D’où une hystérie quasi permanente, traduite par un incessant bavardage sexuel chronique et maintes altercations en public.
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Derrière une apparente liberté de ton du dialogue se niche en fait un conservatisme plutôt cucul qui n’a de cesse d’opposer sexe et engagement, jusqu’au clin d’œil du finale en route vers l’autel, ça va de soi.