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Edgar Marie met en scène en chien fou, lancé à pleine vitesse dans son accumulation d’idées noires. Ce n’est, évidemment, ni toujours très heureux, ni toujours très maîtrisé. Pour autant, on se gardera bien de railler un tel enthousiasme pour un film de genre. À suivre et à confirmer.
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S'affranchir du polar téloche en le surstylisant: voilà ce qu'ambitionne le néophyte Edgar Marie. Sauf qu'abuser sans discernement de la techno à donf, des néons qui clignotent et des cadrages bizarres aboutit moins à une ambiance glauque, façon Jan Kounen, qu'à une esthétique de pub archi toc. Gueule de bois à prévoir.
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Malgré une débauche d’effets de manche (musique tonitruante, montage cut, photographie saturée, ultra-violence gratuite), ce polar français n’est qu’une pâle imitation des standards hollywoodiens et hong-kongais, l’âme en moins.
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S'affranchir du polar téloche en le surstylisant: voilà ce qu'ambitionne le néophyte Edgar Marie. Sauf qu'abuser sans discernement de la techno à donf, des néons qui clignotent et des cadrages bizarres aboutit moins à une ambiance glauque, façon Jan Kounen, qu'à une esthétique de pub archi toc. Gueule de bois à prévoir.