-
Pour se tirer d’un mauvais pas, Ratso, rat opportuniste, s’autoproclame papa d’un œuf non encore éclos. Le vilain petit canard qui en sort, aussitôt baptisé Moche, deviendra un grand cygne, moche aussi, dont Ratso voudrait faire une attraction de fête foraine… Malgré le graphisme un peu criard, ce film animé en 3D est bourré d’idées qui font se rejoindre l’esprit d’Andersen et de Gotlib en passant par celui des créateurs de Shrek. C’est joyeusement bête et méchant. Tout ce qu’on aime !
Toutes les critiques de Le Vilain Petit Canard et moi
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
-
Dopée à l’humour vif, cette relecture délicieusement « barrée » du conte d’Andersen joue avec beaucoup de réussite la carte tout public.
-
Devenir père c’est déjà difficile, père d’un caneton quand on est un rat, encore plus dur, mais alors d’un caneton moche, c’est vraiment pas de chance ! (...) . Le scénario sans surprises aux gags classiques destine ce film sympathique aux plus petits.
-
Un rat des villes se fait passer pour le père d'un caneton renié par ses parents. Tout rapprochement avec le conte de Hans Christian Andersen, Le vilain petit canard, n'est absolument pas fortuit. Les adultes crieront peut-être au détournement, les plus jeunes se régaleront avec des personnages hauts en couleurs et délurés.
-
Librement adapté du conte de Hans Christian Andersen, ce film prend prétexte de la laideur de son personnage principal pour déverser une marée de mauvais goût.