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On n’attendait pas MarieCastille Mention-Schaar (Bowling, Les Héritiers) sur le sujet du terrorisme, qu’elle aborde à travers le prisme de l’embrigadement de jeunes Françaises. En évoquant en parallèle le cas de Sonia, en phase de déradicalisation, et celui de Mélanie, qui succombe aux sirènes du fondamentalisme, la réalisatrice s’attache à couvrir le spectre de cette problématique de façon à peu près cohérente. La présence à l’écran de Dounia Bouzar, figure médiatique du "désembrigadement", contribue malheureusement à rendre le propos plus didactique et édifiant que palpitant. C.N.
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On n’attendait pas Marie-Castille Mention-Schaar (Bowling, Les Héritiers) sur le sujet du terrorisme, qu’elle aborde à travers le prisme de l’embrigadement de jeunes Françaises. En évoquant en parallèle le cas de Sonia, en phase de déradicalisation, et celui de Mélanie, qui succombe aux sirènes du fondamentalisme, la réalisatrice s’attache à couvrir le spectre de cette problématique de façon à peu près cohérente. La présence à l’écran de Dounia Bouzar, figure médiatique du "désembrigadement", contribue malheureusement à rendre le propos plus didactique et édifiant que palpitant.
Christophe Narbonne