Toutes les critiques de Les Équilibristes

Les critiques de Première

  1. Première
    par Eric Vernay

    Quadra appartenant à la classe moyenne, père de deux enfants, Giulio voit sa vie dérailler le jour où sa femme le quitte. « Le divorce, c’est pour les riches, pas pour les gens comme nous ! », lui dira un compagnon de galère, autre victime collatérale de la crise touchant l’Italie. Sur ces « équilibristes » qui oscillent entre aisance et extrême précarité, Ivano De Matteo jette un regard digne, un peu prévisible mais vivifié par un beau casting. Un faux pas – maladie, licenciement ou séparation –, et c’est la chute. Vertigineux

  2. Première
    par Jean-Philippe Guerand

    Un très beau film sur la précarité qui renoue avec les origines du Néo-Réalisme sans tapage.

Les critiques de la Presse

  1. Voici
    par Ariane Valadié

    Une chronique sociale sensible et bouleversante.

  2. L'Express
    par Julien Welter

    vano De Matteo réussit à rester sur le fil du mélo. L'autre équilibriste du film, c'est lui. Sa mise en scène n'est jamais flamboyante, mais le réalisateur de La Bella Gente mène son récit avec une grande justesse.

  3. Nouvel Obs
    par Marcelle Padovani

    Ivano De Matteo (« la Bella Gente ») filme la dégringolade de son héros dans une Rome que les touristes ne verront jamais – ni Ville éternelle à la Fellini ni banlieue populo à la De Sica. Ultradocumenté, d’une sobriété et d’une efficacité bluffantes, son film est un voyage hallucinant au pays des nouveaux pauvres.

  4. L'Express
    par Julien Welter

    Ivano De Matteo réussit à rester sur le fil du mélo. L'autre équilibriste du film, c'est lui. Sa mise en scène n'est jamais flamboyante, mais le réalisateur de La Bella Gente mène son récit avec une grande justesse.

  5. Evene
    par Adrien Sene

    Visage de marbre, micro changements et désespoir intérieur, il épingle avec finesse toutes les étapes perverses de la déchéance sociale. Avec lui, De Matteo n'a pas besoin de forcer sur le mélodrame. Ou juste assez pour revendiquer les origines latines de son cinéma. Ce n'est d'ailleurs pas plus mal. L'auteur de 'La Bella Gente' (2010) trouve ainsi un juste milieu entre l'âpreté et les larmes. Un très beau film.

  6. La Croix
    par Corinne Renou-Nativel

    Un montage plus serré aurait donné davantage de relief au récit. Il n’en demeure pas moins que Les Équilibristes relève d’un cinéma social au ton juste et poignant dont les interprètes servent la belle humanité.

  7. Le Figaro
    par Marie-Noëlle Tranchant

    Un film attachant, très justement interprété.

  8. Les Fiches du cinéma
    par La redaction de Les Fiches du Cinema

    Les Équilibristes se voudrait un flamboyant mélodrame du quotidien, dans la lignée d'un certain cinéma italien des années 1970. Hélas, malgré une mise en scène soignée, le film ne parvient jamais à dépasser l'aspect illustratif d'un scénario assez convenu.

  9. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Un manque de sobriété dans la mise en scène et l'utilisation de la musique un peu trop tire-larmes.

  10. Le JDD
    par Jean-Pierre Lacomme

    Soutenue par une caméra attentive et chaleureuse, la mise en scène a parfois tendance à surligner les moments mélodramatiques. Mais ce cinéma social grand public touche grâce à son pouvoir émotionnel. On aurait pu le souhaiter plus pamphlétaire. Il n’en reste pas moins sincère et bouleversant.

  11. Le Monde
    par La redaction du Monde

    Le portrait d'un couple défait par l'infidélité (Valério Mastandrea et Rosabell Laurenti Sellers) traité sur le mode du mélodrame social, sans grande finesse.

  12. Télérama
    par Guillemette Odicino

    Quarante ans, fonctionnaire, marié, deux enfants : une vie normale, confortable. Et puis un divorce, des factures qui s'entassent et Giulio sombre doucement dans la précarité. Belle chronique, juste et sombre, sur la pauvreté qui arrive sans crier gare et sur le désespoir silencieux d'un homme.

  13. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Ce film consensuel veut montrer "qu'il suffit d'un coup de vent pour tomber". Au lieu de la roue cruelle du destin, on y voit un scénario qui avance gentiment comme sur des roulettes.

  14. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Le nouveau film du réalisateur de La belle Gente suit la plongée dans la pauvreté d’un père de famille, viré du domicile conjugale. Malheureusement c’est un peu la misère artistique également.

  15. Critikat.com
    par Julien Marsa

    Ivano De Matteo revient aujourd’hui avec Les Équilibristes, et s’attaque cette fois à la précarité et au manque de solidarité dans la société italienne. Si l’intention est tout à fait louable, le film peine à porter un regard singulier sur cette chute progressive dans la misère, et s’embourbe doucement dans des scènes convenues et larmoyantes.