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Sans jamais basculer dans le folklore, Jacques Deschamps ouvre une fenêtre sur l’intimité des « émissaires » de la culture gitane en France et accompagne le quotidien de leur petit cirque, installé porte de Champerret. Son regard tendre, légèrement en retrait, parvient à restituer un fragment de l’âme tzigane. Poétique et didactique
Toutes les critiques de Romanès
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Le réalisateur Jacques Deschamps porte un regard amoureux sur le petit monde des Romanès
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Le réalisateur suit le clan Rmanès jusqu'en Chine (...) leur vie quotidienne est un spectacle, la profondeur de champs est savoureuse.
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Sans tabou ni emphase, les préjugés autour des tsiganes disparaissent. Le dialogue s'installe et on se laisse porter par la vie d'une famille attachante et courageuse qui, même si elle vend du rêve, se bat pour la reconnaissance de ses droits. Passionnant.
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Traité sur le mode de la chronique brute et nomade, à l'image de son sujet, et ponctué d'interventions hors champ du réalisateur, ce documentaire saisit différents instants de vie d'un cirque hors du commun. Modeste dans ses moyens et pauvre dans sa réalisation, il a le mérite de contribuer à lever les apriorismes, encore bien ancrés en France, relatifs à la communauté tzigane.
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Jacques Deschamps s'est glissé sous le petit chapiteau du cirque Romanès. Lorsqu'il capte coulisses et numéros acrobatiques, son documentaire est joliment poétique. Lorsqu'il évoque la condition des Tsiganes, son film devient politique. Et utile.