Tandis que les premières critiques de Paperboy sont assassines, le dernier film de Carlos Reygadas peut le rejoindre dans le clan des grands boudés du festival. Si l’on en croit Christophe Narbonne et la blogueuse Lucille, Post Tenebra Lux est un film esthétiquement beau mais bien sombre, qui ne brille pas par son génie ! Un conseil de Christophe à Reygadas ? « Qu’il se consacre à la photographie et qu’il arrête de nous emmerder avec ses films ». C’est dit. Autre sujet de débat : les Français se traînent-ils une sale réputation dans le milieu du cinéma ? Faisant allusion à une absurde scène d’orgie du film dans laquelle on ne parle que le Français (alors que le film se passe au Mexique), Narbonne s’interroge : la partouze géante serait-elle un concept made in France ? Cerise sur le gâteau, alors qu’Edouard Akrout, un acteur frenchie exilé aux Etats-Unis invité ce midi par les chroniqueurs, confesse ne jouer que des rôles de méchants, Philippe Vandel s’interroge : les Français sont-ils détestés au point qu’on ne leur refile que des rôles exécrables ?Il n’empêche que nos jeunes comédiens sont prometteurs, à l’image de Sergio Do Vale, acteur-réalisateur à l’affiche du nouveau film d’Olivier Dahan, Les Seigneurs, et lui aussi invité dans cette vidéo-bulle.Après le cinéma, la détente : Philippe Vandel nous renseigne sur le phénomène des « slash girls », et Alexandra Apikian nous explique en quoi consiste le fameux gala de l’AMFAR, après avoir livré quelques indiscrétions sur la soirée de Benicio Del Toro au Château du Cercle.Le Cannes I Come d'hier : les chroniqueurs se chamaillent sur Holy MotorsInfiltrez le festival avec Cannes I come, sur Google +Suivez toute l'actu cannoise sur notre dossier spécial avec Orange Cinéday
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