Toutes les critiques de Kirikou et les hommes et les femmes

Les critiques de Première

  1. Première
    par Pamela Pianezza

    Coiffé comme Mario Balotelli, aussi véloce que Speedy Gonzales et doté d’un solide sens de la repartie, Kirikou est un héros charmant et moderne qui compense l’exotisme
    exagéré des costumes et du langage. Au moins cette vision fantasmée de l’Afrique est-elle mise au service d’un univers magique cohérent (il y a quelque chose de fascinant chez l’ensorceleuse Karaba et chez ses fétiches animés) et d’un discours humaniste accessible aux plus jeunes. Si Ocelot cède à la facilité en enchaînant les historiettes plutôt qu’en s’attelant à la narration d’une aventure unique (comme dans son superbe Azur et Asmar), il confirme néanmoins son talent de conteur hors pair.

Les critiques de la Presse

  1. Télé loisirs
    par Gwénola Trouillard

    A la manière d'un griot, Michel Ocelot, formidable conteur, nous emmène au coeur d'un monde enchanté qui fera rêver les jeunes spectateurs. Le dessin, d'une exquise délicatesse, les couleurs et les motifs magnifiques, l'animation en 3D qui sculpte les reliefs sans rien retirer à la simplicité et à la beauté du trait initial : tout concourt à la réussite formelle de ces fabulettes enfantines.

  2. Télé 7 jours
    par Julien Barcilon

    C’est avec un réel bonheur que l’on retrouve le héros inventé par le Français Michel Ocelot. La beauté du graphisme à la main allié à la simplicité de contes pétris d’humanité font de ce troisième volet un joli moment de cinéma. A voir dans sa version traditionnelle, la 3D n’étant qu’un artifice commercial.

  3. Nouvel Obs
    par Xavier Leherpeur

    Michel Ocelot parvient une fois encore à nous surprendre, nous émouvoir et nous émerveiller. Par ses récits, hommages ludiques aux traditions musicales, à l’imaginaire, aux contes et au fantastique africain. Mais aussi par la beauté de son animation, sa mise en scène (inventif jeu d’échelles, de perspectives et de montage) et la féerie poétique de sa palette chromatique. Le charme opère, toujours intact.

  4. Les Cahiers du cinéma
    par Thierry Méranger

    Au-delà du jeu de masques qui identifie le créateur à son personnage, c'est bien sa capacité à renouveler un succès éprouvé qui fait la force du film.

  5. Critikat.com
    par Raphaëlle Pireyre

    Kirikou, à bientôt quinze ans, n'a pas pris une ride. Le petit garçon poursuit ses aventures dans une mise en scène en images de synthèse discrète, qui n'entame ni la beauté ni la magie des décors de Michel Ocelot.

  6. Le Parisien
    par Alain Grasset

    Michel Ocelot envoie de jolis messages sur le racisme ou l’amour. Le tout avec une animation, un graphisme et une mise en musique toujours aussi enchanteurs. Kirikou est petit, mais il est fortiche!

  7. Le Monde
    par Noémie Luciani

    Le plus petit des héros de dessins animés ne chôme pas, et l'imagination de son créateur reste intarissable. Joli à entendre, plus joli encore à voir grâce à une 3D bien employée, le "Kirikou" nouveau est un ravissement.

  8. Le Figaro
    par Olivier Delcroix

    Grand passeur d'histoires devant l'Éternel, Michel Ocelot a su créer au fil des années une famille de personnages très attachants. Au cœur de ces cinq contes féeriques africains, il distille de petites étincelles de magie et de poésie qui font toute la différence. C'est pétillant, joyeux, drôle et plein de sagesse. Un régal.

  9. Le Canard Enchainé
    par La rédaction du canard enchaîné

    Les fables africaines se succèdent, peintes d'admirables couleurs, empreintes de sagesse et d'ironie.

  10. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    Du beau travail, accompli et délicat, qui réjDu beau travail, accompli et délicat, qui réjouira une nouvelle fois le cercle des amis de Kirikou. Mais pas seulement. ouira une nouvelle fois le cercle des amis de Kirikou. Mais pas seulement.

  11. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Si l'effet de surprise a disparu de ce troisième long métrage, on aime toujours autant le bonhomme débrouillard faisant la nique à la bêtise et à l'intolérance.

  12. A voir à lire
    par Frédéric Mignard

    Troisième volet des aventures du bambin Kirikou par Michel Ocelot ! Pas le meilleur de la série !

  13. StudioCiné Live
    par Clément Sautet

    Même si l'on peut se sentir lassé par ce lutin adepte des conclusions musicales, il n'en reste pas moins que la 3D apporte un nouveau souffle à l'animation et illustre le talent du réalisateur à jouer avec l'ombre et la lumière. Au final, des fables enfantines pleines de charme.

  14. L'Express
    par Christophe Carrière

    Même si l'étonnement n'est plus au rendez-vous, la beauté finale du trait et des couleurs, auxquels la 3D relief n'apporte absolument rien, est toujours là.

  15. Télérama
    par Cécile Mury

    Outre l'impression de déjà-vu, même le plus ardent des "kirikoumanes" risque de trouver un peu longs certains récits un brin anodins.

  16. Les Inrocks
    par Romain Blondeau

    Près de quinze ans plus tard, le troisième volet des aventures africaines du mouflet Kirikou confirme que la franchise n’est pas la pente la plus ambitieuse de la filmo de son auteur, qu’elle en serait même devenue le parent pauvre. Recyclant dans une 3D décorative l’ensemble de ses motifs (...), Michel Ocelot enchaîne sans aucun liant narratif ni sens du rythme cinq comptines globalement peu inspirées, (...) Il manque surtout ici un peu de nouveauté ou de prise de risque,qui destinerait ce dernier Kirikou à une cible plus large que les (très) jeunes spectateurs.