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La puissance du film de Rodrigo Pla est ainsi de nous proposer, avec une simplicité et une sécheresse étonnantes, une parabole sur notre monde, où les riches sont prêts à tout pour se protéger des pauvres, pour ne pas les voir, ne pas les aider, et surtout ne pas les laisser pénétrer dans leur territoire. La violence sociale est partout, impitoyable, dans ce Zona qui a décroché un très mérité Prix du Meilleur Premier Film à Venise.
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Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Derrière ce pitch mordant, le premier long-métrage captivant et maîtrisé de Rodrigo Pla et de son épouse Laura Santullo, coscénariste. Au delà de ces péripéties, La Zona développe une réflexion saisissante sur l'isolement, la paranoïa contagieuse, la difficulté d'entrer en dissidence.
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Voilà une fiction paranoïaque qui ne fait pas plaisir, mais enfin, cela ne pourrait jamais arriver ici, n'est-ce pas ?