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Disney confirme son retour aux fondamentaux avec ce conte, mélange de modernité et de tradition. Dessinant avec humour un personnage de princesse nourrie de stéréotypes amoureux, le récit s’amuse à détourner les clichés attendus pour relater une autre histoire d’amour, plus sororale que romantique. Le prince charmant et les seconds rôles comiques sont bien là, mais relégués au second plan, le propos du récit étant le dépassement personnel de ces deux princesses, prisonnières de leurs illusions. Sur ce fond étonnamment sérieux, les réalisateurs osent la comédie musicale anachronique, à l’opposé des standards farceurs de l’animation. Si le film semble parfois un peu trop calibré pour Broadway, il n’empêche que ce contraste étonnant entre le fond et la forme provoque un retour en enfance immédiat pour qui ne craint pas le lyrisme et la magie.
Toutes les critiques de La reine des neiges
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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«La Reine des neiges», le Disney de Noël, marque un retour en force de la musique dans les films d’animation du studio. Et on en prend plein les yeux et les oreilles.
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Les tempêtes de neige sont spectaculaires, les chansons, superbes, et l’histoire, pleine de rebondissements, exalte le courage et la nécessité de voir au-delà des apparences. Une réussite.
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Disney retrouve toute sa magie d'antan dans un conte au coeur chaud.
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Un joli film hivernal, le film qu’on a envie de voir et revoir pendant la période des vacances.
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Les créateurs de Raiponce signent un conte merveilleux pour Noël, avec la voix de Dany Boon pour incarner Olaf, le gentil bonhomme de neige.
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Un enchantement qui marque le grand retour du studio dans le domaine des comédies musicales d’animation
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Si les héros fjordiens de La Reine des neiges respectent la tradition en poussant (un peu trop) la chansonnette, le scénario explore de nouvelles pistes. (...) Un conte de Noël drôle et féerique.
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Dans un magnifique mélange entre le dessin de « Raiponce » et l’ambiance Broadway de « Mamma Mia ! », les princesses Elsa et Anna cherchent, tout en chantant, comment sauver le royaume du froid. Impossible de rester de glace face à la créativité de Disney qui nous en met encore plein la vue avec ou sans lunettes 3D.
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Le Disney de Noël est somptueux. Drôle, émouvante, moderne, cette adaptation du conte d'Andersen fait voler en éclats les vieux poncif (...) Le travail graphique sur glace est somptueux. Beau et totalement givré.
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Les studios Disney sort son traditionnel film d’animation de Nöel et pourrait bien cette fois-ci, sans y prendre gare avoir enfin atteint le but qu’ils semblent s’être fixé depuis quelques années déjà : révolutionner le conte de fée en l’adaptant au goût du jour. Si les bases avaient été posées par la princesse Raiponce, qui sauvait la peau de cet empoté de prince, la tentative restait tout de même assez timide et réaffirmait finalement les règles du genre en se clôturant sur un happy end dans lequel le mâle prend pour épouse la femelle et non l’inverse. Les créateurs de ce dernier long-métrage se sont depuis enhardis et osent beaucoup plus dans La Reine des Neiges jusqu’à en être jouissif.
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“La reine des neiges” tiré de “the snow queen” se situe largement en 1ère position dans une année où le film d’animation n’a pas excellé.
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Dans la lignée lumineuse de “Raiponce”, “La Reine des neiges” développe une redoutable machine à faire chanter les petites filles, dans des scènes dignes de Broadway. Kitsch mais efficace !
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Un nouveau genre de conte de fée, ces princesses glacées nous réchauffe le cœur.
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« La reine des neiges » est doté d’un ton fort et convaincu : une mythologie riche, une animation précise et des effets 3 D qui valent le détour.
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Disney a quasiment tout bon dans ce charmant film d’animation : vif, chaleureux, de jolies voix et un magnifique message pour le « girl power ».
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Vous resterez béat.
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Une comédie musicale féérique et un essentiel de cette fin d'année.
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Disney est encore capable de nous délivrer de la bonne détente.
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L'humour et les péripéties assurent le plaisir des adultes restés de grands enfants.
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Une jolie histoire malgré un graphisme parfois grossier. Les effets "givrants" font fondre les enfants!
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Adaptation très libre d’un conte d’Andersen (...) mais l’ensemble, réalisé en images de synthèse techniquement impeccables, souffre d’une esthétique « kitsch » particulièrement à l’œuvre dans le palais glacé que la reine des neiges se bâtit d’un coup de baguette réfrigérante. Le film est également recouvert d’un lourd manteau sucré de chansons qu’on croirait composées pour un spectacle musical sur glace.
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En s'inspirant très librement du conte d'Andersen, cette nouvelle production Disney met en crise l'archétype de la princesse de contes de fées, pour mieux le réactiver. L'esthétique relativement disgracieuse des dessins, la pauvreté de la musique sont heureusement compensées par un récit rondement mené sur l'antagonisme de deux sœurs, dont l'une, frappée d'une malédiction, glace tout ce qui l'entoure.
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Dans la lignée de "Raiponce" et "Rebelle", ce Disney de Noël renoue avec les traditions d’antan puisqu’il est (très librement) adapté d’un conte d’Andersen et offre une large place aux chansons. Du moins dans sa première partie très fifille et assez horripilante avec ses scènes chantées d’une ringardise qu’on pensait révolue. Dans la seconde, miracle, plus une rengaine mais une fable initiatique aux accents féministes et un personnage burlesque de bonhomme de neige surexcité à l’idée de voir l’été (sic) qui redressent gentiment la barre. Un Disney plus roublard qu’enchanteur.
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Dans cette adaptation (très) libre du conte d'Andersen, on décèle l'influence de Marvel, le studio des superhéros que Disney a racheté en 2009. Cela donne un beau récit d'apprentissage : l'histoire d'une princesse qui transforme en glace ce qu'elle touche, et qui doit maîtriser son superpouvoir.
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Très libre adaptation du conte d’Andersen, ce Disney renoue avec la tradition des grands classiques du studio américain, mettant en scène non pas une mais deux princesses dans une aventure musicale. Passé une introduction elliptique, on est séduit par l’humour, le rythme, les personnages attachants et l’émotion de ce récit initiatique inscrit dans la modernité.
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S'il n'a pas l'aura des grands classiques des studios Disney, "La Reine des neiges" libère une joie de vivre communicatrice et une émotion palpable lors d'un final très réussi. Une comédie musicale aux allures de cartoon énergisant sachant aussi réserver des moments sombres.
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Future reine du royaume d’Arendelle, Elsa transforme tout ce qu’elle touche en glace. Un don utile pour participer à Ice Show, mais handicapant le jour où elle déclenche involontairement l’hiver en plein été. Accompagnée d’un montagnard, de son renne et d’un drôle de bonhomme de neige, sa sœur part à sa recherche dans la montagne, donnant ainsi vie avec enthousiasme et humour à ce conte d’Andersen joliment raccord avec l’esprit de Noël.
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Malgré tout le professionnalisme contenu dans ce film, il est très froid.
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Deuxième production en images de synthèse des studios Disney, La Reine des Neiges poursuit dans la veine féministe de Raiponce en lui insufflant un souffle de noirceur. Mais le film, malgré de belles séquences musicales, patine trop souvent dans une beauté surgelée.
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La touche classique de Disney mélangée à une note de modernité nous donne ce petit film très sensible.
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Bref, faute d’avoir le caractère d’une oeuvre mauvaise comme La Ferme se rebelle ou Bienvenue chez les Robinson, La Reine des Neiges, réalisé par Chris Buck (Tarzan, Les rois de la glisse) et Jennifer Lee (scénariste des Mondes de Ralph) souffre juste de transparence et appartient aux œuvres dispensables de l’impressionnant catalogue de Walt Disney Pictures, au même titre que Basil détective privé ou Chicken Little. Les petites filles apprécieront. Leurs petits frères iront chercher la fraîcheur du divertissement ailleurs.
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on tombe vite dans la mièvrerie et les rebondissements attendus. Le personnage de la Reine, méchante originale puisque menace malgré elle, est d'une complexité appréciable et aurait dû être plus au centre de l'histoire. La morale finale, qui nous invite à nous méfier des apparences (rien de bien nouveau), fait décidément de «La Reine des Neiges» un décevant conte de fées pour petites filles sages, qui elles y trouveront leur bonheur.