Moi, moche et méchant 2

C'est réussi. Outre un scénario haletant, qui embarque les personnages dans une course-poursuite entre James Bond et Mister Bean, Moi, moche et méchant 2 déploie un solide humour qui fait mouche. Les scènes avec les Minions, plus nombreuses que dans le premier opus, font le sel du film. Avec leur langage incompréhensible, comparable au gromolo des clowns, ils concentrent 99 % des gags. Unissant toutes les générations dans un éclat de rire hautement recommandable.

Les auteurs ont trouvé leur rythme de croisière ! Ce numéro 2 est une vraie réussite. Gru doit y composer avec ses sentiments naissants pour sa collègue Lucy, des Minions baladeurs et ses filles adoptives ! L’animation de grande qualité se met au service d’un scénario riche en gags. Et des personnages réjouissants font souffler un air de nouveauté sur cette comédie animée

cette suite déboule pour notre plus grand plaisir, avec certes en moins le côté sale gosse bête et méchant qui faisait notre joie dans le premier opus, mais avec une part encore plus belle faite aux hilarants, et bien nommés, Minions.

Le très réussi « Moi, moche et méchant 2 » confirme le succès d’un nouveau type de héros, le vilain au physique ingrat.

L'esprit de James Bond irrigue ce cartoon familial aussi rythmé et amusant que le premier. Les Minions sont irrésistibles.

Moins énervé que le premier opus (...) Entre trois explosions, cent poursuites et mille gags les personnages se pâment.

Si on retrouve l’humour joyeusement irrévérencieux du premier opus, l’omniprésence des Minions, encore plus loufoques, apporte un ton très cartoon à ce film survolté. Mais derrière la dinguerie affleurent tendresse et délicatesse, qui finissent de nous embarquer.

Cette suite endiablée aux accents de James Bond ravira petits et grands. C’est un festival de gags hilarants mis en relief par une animation en 3 D d’une rare beauté. Les voix françaises sont une réussite dont celle, incroyable, de Gad Elmaleh qui forme un duo convaincant avec Audrey Lamy. On en redemande !

Une version juste qui trouve le bon équilibre entre la tendresse et l’humour.

Trois ans après le succès du premier volet très remarqué pour son savoureux héros méchant, le scénario délaisse la carte de l’'originalité. Pour autant, avec cette aventure digne d’un
James Bond, les enfants seront à la fête, peut-être d'avantage encore, puisque les Minions, mini-créatures hilarantes, prennent l’'écran d'’assaut. D’'où une succession de séquences très drôles.

Attention, invasion de Minions! Gru, ses trois terreurs de filles et son armée de créatures jaunes remplient dans un second épisode prenant la forme d'une enquête policière déjantée et privilégiant l'humour et le rythme. Largement à la hauteur du premier.

Le film de Chris Renaud et Pierre Coffin, qui mélange astucieusement action, humour et amour, est une belle réussite.

Un nouvel opus aussi enlevé qu'hilarant.

Une suite qui fatalement rentre dans le rang mais qui remplit au final parfaitement le cahier des charges pour ce genre de production.

Même si la nouvelle édition n’est pas aussi étincelante que la première, il y a tout de même un fort potentiel dans ce nouveau volet, des visuels vifs et une voix entrainante menée par Steve Carell.

Peut être pas aussi charmant et original que le premier mais il s’en approche, étoffé par le travail de Chris Renaud et Pierre Coffin qui apporte une sensibilité loufoque et élargit l’univers.

Des nouveaux personnages croustillants, des gadgets qui dépotent et des Minions toujours aussi craquants. On en redemande !

Là, on cherche encore le film sous cette succession de scènes à faire, entre surexploitation des insupportables « minions » – ces Gremlins hystériques en forme de pilules jaunes qui ont fait la popularité de la franchise – et intermèdes musicaux pour vendre la BO composée par Pharrell Williams. C’est d’autant plus regrettable que, techniquement, l’animation est impressionnante.

Malgré la 3D et les effets spéciaux sidérants, un « moi » sans divertissement.

Moins originale que Moi, moche et méchant, succès retentissant (...), la suite des tribulations de Gru a le mérite d’être beaucoup plus drôle et sincère. Technique d’animation virtuose, trouvailles visuelles et sonores, dialogues enlevés : la recette du premier volet fonctionne à plein régime.

Le retour de Gru et de ses Minions était inévitable, puisque le premier épisode des aventures de ce faux génie du mal et de ces vrais objets de marketing avait triomphé dans le monde entier. Il n'est pas non plus déplorable puisque c'est l'occasion d'un honnête divertissement.

L’esprit de surprise a fait pschitt et l’humour sardonique a disparu.

Une copie blême de son prédécesseur qui, lui, était fougueux et moderne.