Toutes les critiques de On The Job

Les critiques de Première

  1. Première
    par Pamela Pianezza

    Détenus dans une prison philippine – un alibi idéal –, Tatang et Daniel bénéficient de droits de sortie occasionnels, le temps de jouer les tueurs à gages pour des politiciens véreux. Mais leur petit manège commence à attirer l’attention de la police... Grouillante, séduisante, manipulatrice : face à la caméra du minutieux Erik Matti, Manille fait véritablement son cinéma. Et c’est un éloquent pamphlet anticorruption qui émerge de ce divertissement ultra spectaculaire, de la scène d’ouverture explosive au final tragique.

Les critiques de la Presse

  1. L'Express
    par Sandra Benedetti

    Erik Matti, réalisateur philippin inconnu en France, livre ici un bijou sur la corruption. Puissant!

  2. Evene
    par Olivier De Bruyn

    Dans "On the job", film 100 % noir et 100 % efficace, le cinéaste prouve en effet qu’il maitrise son affaire à toutes les étapes créatives : scénario (alambiqué, mais jamais artificiel), mise en scène (sèche et lapidaire), direction d’acteurs… Mais si ses qualités formelles sont incontestables, On the job, inspiré directement de faits réels, frappe surtout par sa description accablante d’une société partout gangrénée par la corruption, la violence, l’abjection. Si vous aimez l’exotisme et les cartes postales décoratives, n’allez pas voir ce film, ni à Cannes ni ailleurs. Dans le cas contraire, n’hésitez pas.

  3. San Francisco Chronicle
    par Mick LaSalle

    Un drame Philippin robuste et sophistiqué qui prend une situation repoussante et enrichit sa présentation avec une échelle à taille humaine.

  4. New York Times
    par Jeannette Catsoulis

    Un thriller propulsif, « On the job » ne s’arrête jamais.

  5. Village Voice
    par Pete Vonder Haar

    La politique corrompue combinée avec la criminalité de rue, c’est un film de Scorsese Philippin.

  6. New York Times
    par Farran Smith Nehme

    Matti utilise ce projet pour dénoncer l’horreur de la société aux Philippines, des rues sales et des buildings délabrés sont les décors qui composent ce film.

  7. Los Angeles Times
    par Inkoo Kang

    Malgré la platitude des personnages, ce film fend le cœur.