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"Welcome back" est un beau film avec juste ce qu'il faut de notes lumineuses pour passer les moments sombres.
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Même avec sa narration déséquilibrée et surchargée, le film garde un charme et une énergie qui ne faiblissent pas grâce à un rythme soutenu et des charmantes performances de son talentueux cast.
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C’est bordélique, oui, mais c’est parfait ainsi. Car lorsque tous les fils narratifs, reliés par un montage cabossé mais généreux, finissent par se dénouer, ils laissent place au finale le plus beau vu cette année : un simple jeu de regards, muet, où vient se déposer toute l’écume de ce film hors du temps, et si précieux.
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Crowe glisse dans le film un sujet sérieux sans vraiment l'étudier. Même la romance, avec ces deux amoureux qui ne se correspondent pas, est étrange. Pour couronner le tout, il ajoute une fin pratique sans être convaincante.
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Ce qui nous saute le plus aux yeux avec ces personnages, c'est qu'aucun d'entre eux ne dirait les choses que Crowe fait sortir de leur bouche.
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Par où commencer ? En n'allant pas voir ce film.
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"Welcome Back" est comme un marshmallow : doux à l'intérieur, doux à l'extérieur mais totalement dénué de sens.
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Ça arrive. Des réalisateurs vraiment talentueux peuvent se mettre à la place du batteur, faire un swing énorme et totalement rater leur tir.
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Il y a de bonnes intentions dans ce film, mais il est presque impossible à suivre. Restez chez vous et regardez un meilleur film de Crowe à la place. Et réfléchissez à ce qui a mal tourné dans ce long métrage.
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Un autre gâchis fascinant d'un réalisateur sincère, et parfois excellent, qui a du mal à recréer la magie et le charme de ses précédents films.
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Inégal, maladroit et parfois presque incompréhensible, "Welcome Back" est sans aucun doute le pire film de Cameron Crowe.
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Les bons sentiments dégoulinants étranglent un récit dénué de tout effet de surprise et poussent les comédiens au surjeu pour lui insuffler un peu de vie. S.O.S. !
Welcome Back
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