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Le sourire de Cameron Diaz crève l’écran.
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Si la plume de frères Coen est imperceptible dans cette histoire cousue de fil blanc, le dandysme de Colin Firth et la gouaille de Cameron Diaz font mouche.
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On attendait un peu plus d'inventivité de la part des frères Coen qui signent ici le scénario de ce remake d'un film des années 60. Heureusement les acteurs sont au poil.
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A condition d’aimer les comédies hollywoodiennes des années 40-50 (Capra, Lubitsch) ou les buddy movies iconoclastes façon eighties où l’on associe la retenue pleine de classe (ici Colin Firth et son flegme britannique) à l’irrésistible gouaille (Cameron Diaz aux gambettes toujours aussi interminables, mais attention, bientôt ces rôles de cow-girls facétieuses ne seront plus de son âge). A découvrir éventuellement.
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L'élégant Colin Firth dévoile une jolie fibre comique et se prend pour Peter Sellers dans cette comédie débridée, mais pas tout à fait bien ficelée.
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« Gambit, arnaque à l’anglaise » ne tire pas grand-chose de cette tarte à la crème, sinon un medley passable d’humour anglais articulé par une belle brochette de personnages en cartoon (Firth, à l’aise dans la caricature du gentil loser flegmatique). On aurait pu s’en contenter sauf que le scénario, signé des frères Coen (dont on reconnaît les rouages habituels), fait planer sur l’ensemble une frustration logique. L’idée qu’on tient là un brouillon de bon film plutôt qu’un bon petit film.
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Rien de déshonorant dans cette comédie parfois bien menée. Rien de bien neuf non plus.
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Les frères Coen ont écrit en vitesse le scénario de leur nouvelle comédie très british, qui déroule le tapis rouge à Colin Firth et Cameron Diaz.
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À mille lieues de son dernier film, Tolstoï, le dernier automne, Michael Hoffman réalise une comédie à l’ancienne. De son inspiration originale, il conserve la couleur d’un long métrage des années 1960, avec une belle image et les décors élégants d’un Londres chic. Dans un délicieux déjà-vu corrigé par les frères Coen, l’humour puise du côté de Buster Keaton, en équilibriste sur la façade d’un hôtel, ou dans le burlesque de Peter Sellers en inspecteur Clouseau. Après les personnages sérieux incarnés dans Le Discours d’un roi et A Single man, Colin Firth a manifestement savouré ce rôle pour lequel le scénario des frères Coen exige bien des talents. Cameron Diaz rayonne dans ce personnage de Texane sans limite.
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L’humeur n’est pas vraiment vintage mais plutôt ringarde.
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Sur un scénario des frères Coen, Michael Hoffman signe une comédie plutôt poussive et relativement prévisible.
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Mollement menée par un Colin Firth et une Cameron Diaz somnolents dans leurs rôles habituels (...), cette énième arnaque à la chute éléphantesque chasse sans conviction - et sans décoller - sur les terres "Ocean's Eleven".
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Le casting est réussi, vous rirez même quelque fois mais l’intérêt diminue au fur et à mesure que le film avance.
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Beaucoup de talents mal exploités par ce film médiocre.
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Très moyen sous tous ses aspects.
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« Gambit » est comparable à boire du champagne de super marché, tiède dans un verre en plastique.
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Au secours, ce film est un ratage.
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Rien ne va, dans ce remake d'une aimable comédie des sixties ("Un hold-up extraordinaire"). Montage pataud, comédiens (Colin Firth, Cameron Diaz) réduits à leurs propres caricatures, gags désastreux.
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Parfois dôle et surtout trop longue, cette arnaque est un peu tirée par les cheveux et vaut surtout pour son casting.
Gambit - Arnaque à l'Anglaise