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Oui, il y a des trous à foison dans l'intrigue. Mais la tension est bien mise en scène par Morel, ce qui fait de "Gunman" un bon passe-temps.
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Le casting est savoureux, mais le scénario ne fait pas son boulot dans les moments cruciaux, en laissant le public loin, très loin des révélations.
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Je peux imaginer Sean Penn donner son accord pour jouer dans ce faux "Taken" à condition que le film sensibilise le public aux crises humanitaires africaines. Il le sensibilise, mais le film est bancal.
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Un scénario qui bénéficie de la mise en scène très nerveuse de Pierre Morel, pour une adaptation d’un roman de Jean-Patrick Manchette.
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Assez classique dans sa facture par rapport aux codes du thriller, "Gunman" dénonce les agissements répréhensibles et manipulatoires de grandes entreprises, avec comme victimes collatérales des populations entières. Efficace.
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Un thriller très efficace et bourré de scènes d'action pour l'acteur et réalisateur américain.
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"Gunman" devient peu à peu un truc ennuyeux avec des flingues et du sang. Penn méritait mieux. Et nous aussi.
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Ok, on a vu les biceps et les abdos. C'est bien. Maintenant, revenons aux méninges.
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Les décors exotiques sont le seul détail qui sauve "Gunnman".
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"Gunman" semble prometteur au début, mais il devient juste une flopée de conneries.
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Un thriller léger conçu comme un drame politique intense, ou vice-versa. Ni sérieux, ni divertissant.
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Malheureusement, personne ne gagnera jamais un Oscar pour des tablettes de chocolat. Et personne ne gagnera 5 secondes d'admiration pour 115 minutes d'ennui avec "Gunman".
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Malheureusement, ça ressemble à un projet imaginé pour faire à la réputation de Sean Penn, à l'Afrique, à l'Espagne et aux mercenaires ce que la franchise "Taken" a fait pour Liam Neeson, Paris et les gangsters albanais.
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Sean Penn, il sort les muscles dans un "Gunman" peu convaincant.
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Sans être un ratage complet, "Gunman" s’enlise dans une mise en scène lisse, sans aucune prise de risque ni originalité.
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Pierre Morel et Sean Penn ne s'appuient que sur une poignée de scènes d'action, base étroite de leur canevas, sans comprendre ce qui faisait la richesse de l'œuvre de Manchette. Et en négligeant toute profondeur psychologique...
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Une oeuvre anodine, incapable de fournir le frisson de l’émotion, qui noie son discours géopolitique dans un recours ronflant à l’action.
Gunman