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Cette nouvelle adaptation de Stephenie Meyer est fidèle à l’univers de l’auteur de Twilight. Les histoires d’amour torturées, la découverte du corps... Les Âmes Vagabondes livre un regard décalé sur la SF, genre masculin par excellence.
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Le livre de Stephenie Meyer, destiné à un public plus âgé que celui de « Twilight », se révèle bien plus enlevé que sa saga. Il restait à réussir le film : le réalisateur Andrew Niccol y parvient grâce à un formidable tempo et à un excellent casting. Outre la jeune Saoirse Ronan, bluffante, et Diane Krugger, impeccable en méchante Traqueuse, le vétéran William Hurt, remarquable de sobriété en chef de la résistance, y tient son plus beau rôle depuis longtemps…
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Ce film ne fait ni dans le romantisme ni dans le film à l’eau de rose, le scénario n’est pas ridicule. « The Host » a une atmosphère glaciale, austère et sardonique.
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Le réalisateur a parfaitement intégré le mélange de romantisme et de fantastique .
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Les Âmes vagabondes se transforme en un blockbuster fantastique, qui garde pourtant toute la saveur d'un film d'auteur.
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Une nouvelle adaptation de l’auteur de Twilight prolonge dans un récit de science-fiction minimal son exploration palpitante du désir féminin.
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A voir surtout pour Saiorse Ronan, la jeune surdouée de Hollywood.
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Andrew Niccol adapte le best-seller de Stephenie Meyer et raconte une histoire d’amour surnaturelle, presque métaphysique. Influencé par des classiques de science-fiction comme
L’Invasion des profanateurs de sépultures (1956), de Don Siegel, le réalisateur décrit la place de l’individu au sein d’un régime totalitaire dans ce film intrigant et efficace. -
Lorsque l'univers de l'auteur de Twilight rencontre celui du réalisateur de S1m0ne, cela donne cet objet étrange, un poil désuet, dans lequel les thématiques de science-fiction s'effacent devant la romance adolescente. Saoirse Ronan est formidable.
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Les Âmes vagabondes ne réussira ni à combler les fans de base de Stephenie Meyer qui espèrent une romance épique à la Twilight ni les amateurs de science-fiction appatés par une affiche faussement prometteuse. À la limite, on peut lui prédire un statut de film culte dans un avenir proche, en nostalgie d'une période où le mauvais goût affiché et le mielleux étaient plus de mise que la sophistication et le sens de la transgression.
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Plutôt loufoque, joué de manière très solennelle, aucune touche d’humour perceptible, on ne ressent aucune excitation.
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Pas très représentatif de la romance amoureuse, peu de passion à l’écran, un cousin très éloigné de « Twilight ».
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Le réalisateur de "Bienvenue à Gattaca" se dépêtre plutôt bien de cette "love story new age" sur fond d'invasion extraterrestre.
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La peur de l’autre a longtemps été le thème de prédilection des Américains dans les films fantastiques, de science-fiction, politiques et thrillers, ici « The Host » ébranle les idées installées sur les envahisseurs.
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Si seulement ce film était aussi bien qu’il en a l’air au premier abord.
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Si la philosophie générale de l’œuvre ne sert rien d’autre qu’un honnête divertissement, le film se rend plus intéressant en évoquant la lutte intérieure d’une héroïne ayant fort à faire pour dépasser la dualité des deux esprits qui prétendent la guider.
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Cette adaptation d’un roman de Stephenie Meyer par le réalisateur de Bienvenue à Gattaca s’avère plus plaisante que Twilight, mais, plombée par un sentimentalisme mièvre, se pose largement en-dessous des jalons de science-fiction de notre époque.
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Les Âmes vagabondes sont plutôt en fuite tout comme nous qui nous hâtons de fuir vers le panneau « sortie » de la salle de cinéma.
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Des maladresses au niveau des dialogues, une intrigue ridicule et des crises émotionnelles pour donner l’impression que l’histoire tient la route.
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Cette nouvelle aventure romantico-futuriste est soporifique.
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De la voix off restituant lourdement la lutte intérieure de la jeune Melanie (Saoirse Ronan), aux prises avec l’entité extraterrestre qui s’est emparée de son corps (appréciez la finesse de la métaphore de l’adolescence), aux deux bellâtres qui se disputent ses faveurs, en passant par la solennité du ton, qui emmène le film vers le comique involontaire, tout conspire à faire des « Ames vagabondes » un naufrage.
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Nouvelle adaptation d'un best-seller de Stephenie Meyer, après "Twilight". Il s'agit, cette fois, de science-fiction (des aliens ont envahi notre planète et nos enveloppes corporelles), mais c'est toujours aussi vide et gnangnan.
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Ronan est élégante et juvénile comme toujours, elle s’adonne à l’exercice parfaitement mais, malheureusement, le film dans son ensemble la dessert.
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Du fantastique et de l’amour : on reconnaît les ingrédients préférés de Stephenie Meyers, dont le livre écrit après Twilight est adapté ici par Andrew Niccol. Et il faut avouer que de ce maître de la science-fiction, à qui l’on doit notamment Bienvenue à Gattaca, on attendait mieux. Car si l’ambiance est bien posée, l’intrigue et ce huis clos sans grande ambition dans une grotte au milieu du désert laissent nos âmes… perplexes.
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Long, pénible et souvent involontairement hilarant.
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"Les Âmes vagabondes" échoue spectaculairement sur tous les tableaux : mauvais teen movie, mauvais film de SF, mauvais pensum sur la dualité de l'être humain.
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Un mélodrame ramollo, sans suspense.
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L'adaptation du roman de Stephenie Meyer est à l'image du livre : d'une désolante vacuité.
Les Ames Vagabondes