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PHOTOS - Astérix et Obélix 4 : premières images de César et... de la Reine d'Angleterre !

La reine d'Angleterre s'invite au récit

<strong>Premier coup d'oeil à Catherine Deneuve et Fabrice Luchini dans Au service de sa majesté. Sans oublier quelques déclarations choc de Gérard Depardieu !</strong> Le magazine <em>Télérama</em> s?est rendu sur le tournage du prochain volet des aventures d?Astérix et Obélix (<em>Au service de sa Majesté</em>) d?où nous parviennent plusieurs visuels et surtout de nouvelles informations. C?est en Irlande que l?équipe a planté le décor pour ce quatrième chapitre supervisé par <strong>Laurent Tirard</strong> (scénariste et réalisateur de Molière et du Petit Nicolas). Pour ce nouvel opus, le cinéaste s?offre les services de pointures du cinéma hexagonal, à commencer par Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, <strong>Jean Rochefort</strong>, <strong>Dany Boon</strong> et bien d?autres, autour de <strong>Gérard Depardieu</strong> et <strong>Edouard Baer</strong>, qui a troqué son rôle d?Otis dans Mission Cléopâtre pour celui d?Astérix. Les fans du plus séducteur des agents secrets l?auront compris, le titre s?inspire du sixième chapitre des aventures de l?espion James Bond, intitulé Au service secret de Sa Majesté. Tirard l?avoue lui-même, cela n?a rien d?anodin&nbsp;: <em>"Nous avions choisi de traiter Astérix et Obélix comme des super-héros. Et leurs aventures façon James Bond ou Spider-Man."</em> Des gaulois aux airs de protagonistes des plus grands blockbusters venus d?outre-Atlantique&nbsp;? Il fallait y penser, surtout au vu de l?accueil critique plus que glacial qu?a reçu Astérix aux Jeux Olympiques, auquel s?ajoute un succès en salle relativement mitigé avec six millions d?entrées au compteur, bien loin des 14 millions de son prédécesseur (<em>Mission Cléopâtre</em>, supervisé par <strong>Alain Chabat</strong>). <em>"Comme la marque avait été abîmée par la médiocrité du précédent épisode, il fallait la régénérer. " </em>admet <strong>Grégoire Vigneron</strong>, coscénariste du projet avec Tirard. Cette fresque comique, où se côtoient des gaulois, bien sûr, des Bretons et une reine d?Angleterre entre autres, est inspirée des albums <em>Astérix chez les Bretons</em> et <em>Astérix chez les Normands </em>pour tisser son intrigue. Depardieu, non content d?arborer de nouveau la fameuse bedaine qui a fait le succès de son personnage, s?est également exprimé sur ce volet, et sur toute la saga, visiblement déterminé à rempiler tant qu?il y aura du sanglier à abattre. <em>"Je n?aurais pas fait deux cents films dont un certain nombre de conneries si je n?avais pas été Obélix"</em>, déclare l?acteur, qui, en prime, fait part de ce qu?il pense de l?adaptation de Tintin réalisée par <strong>Spielberg</strong>.<em> "Enfant, je ne lisais qu?Astérix. Tintin, je trouvais ça trop bourgeois, je détestais ce chien et ce jeune homme trop bien élevé, ce fouille-merde qui faisait le flic, ça ne m?étonne pas que Spielberg l?ait choisi."</em> Les gaulois investiront les salles obscures le 17 octobre 2012, en relief&nbsp;!

Les gaulois vont encore frapper

<strong>Premier coup d'oeil à Catherine Deneuve et Fabrice Luchini dans Au service de sa majesté. Sans oublier quelques déclarations choc de Gérard Depardieu !</strong> Le magazine <em>Télérama</em> s?est rendu sur le tournage du prochain volet des aventures d?Astérix et Obélix (<em>Au service de sa Majesté</em>) d?où nous parviennent plusieurs visuels et surtout de nouvelles informations. C?est en Irlande que l?équipe a planté le décor pour ce quatrième chapitre supervisé par <strong>Laurent Tirard</strong> (scénariste et réalisateur de Molière et du Petit Nicolas). Pour ce nouvel opus, le cinéaste s?offre les services de pointures du cinéma hexagonal, à commencer par Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, <strong>Jean Rochefort</strong>, <strong>Dany Boon</strong> et bien d?autres, autour de <strong>Gérard Depardieu</strong> et <strong>Edouard Baer</strong>, qui a troqué son rôle d?Otis dans Mission Cléopâtre pour celui d?Astérix. Les fans du plus séducteur des agents secrets l?auront compris, le titre s?inspire du sixième chapitre des aventures de l?espion James Bond, intitulé Au service secret de Sa Majesté. Tirard l?avoue lui-même, cela n?a rien d?anodin&nbsp;: <em>"Nous avions choisi de traiter Astérix et Obélix comme des super-héros. Et leurs aventures façon James Bond ou Spider-Man."</em> Des gaulois aux airs de protagonistes des plus grands blockbusters venus d?outre-Atlantique&nbsp;? Il fallait y penser, surtout au vu de l?accueil critique plus que glacial qu?a reçu Astérix aux Jeux Olympiques, auquel s?ajoute un succès en salle relativement mitigé avec six millions d?entrées au compteur, bien loin des 14 millions de son prédécesseur (<em>Mission Cléopâtre</em>, supervisé par <strong>Alain Chabat</strong>). <em>"Comme la marque avait été abîmée par la médiocrité du précédent épisode, il fallait la régénérer. " </em>admet <strong>Grégoire Vigneron</strong>, coscénariste du projet avec Tirard. Cette fresque comique, où se côtoient des gaulois, bien sûr, des Bretons et une reine d?Angleterre entre autres, est inspirée des albums <em>Astérix chez les Bretons</em> et <em>Astérix chez les Normands </em>pour tisser son intrigue. Depardieu, non content d?arborer de nouveau la fameuse bedaine qui a fait le succès de son personnage, s?est également exprimé sur ce volet, et sur toute la saga, visiblement déterminé à rempiler tant qu?il y aura du sanglier à abattre. <em>"Je n?aurais pas fait deux cents films dont un certain nombre de conneries si je n?avais pas été Obélix"</em>, déclare l?acteur, qui, en prime, fait part de ce qu?il pense de l?adaptation de Tintin réalisée par <strong>Spielberg</strong>.<em> "Enfant, je ne lisais qu?Astérix. Tintin, je trouvais ça trop bourgeois, je détestais ce chien et ce jeune homme trop bien élevé, ce fouille-merde qui faisait le flic, ça ne m?étonne pas que Spielberg l?ait choisi."</em> Les gaulois investiront les salles obscures le 17 octobre 2012, en relief&nbsp;!

Astérix et Obélix ont du boulot !

<strong>Premier coup d'oeil à Catherine Deneuve et Fabrice Luchini dans Au service de sa majesté. Sans oublier quelques déclarations choc de Gérard Depardieu !</strong> Le magazine <em>Télérama</em> s?est rendu sur le tournage du prochain volet des aventures d?Astérix et Obélix (<em>Au service de sa Majesté</em>) d?où nous parviennent plusieurs visuels et surtout de nouvelles informations. C?est en Irlande que l?équipe a planté le décor pour ce quatrième chapitre supervisé par <strong>Laurent Tirard</strong> (scénariste et réalisateur de Molière et du Petit Nicolas). Pour ce nouvel opus, le cinéaste s?offre les services de pointures du cinéma hexagonal, à commencer par Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, <strong>Jean Rochefort</strong>, <strong>Dany Boon</strong> et bien d?autres, autour de <strong>Gérard Depardieu</strong> et <strong>Edouard Baer</strong>, qui a troqué son rôle d?Otis dans Mission Cléopâtre pour celui d?Astérix. Les fans du plus séducteur des agents secrets l?auront compris, le titre s?inspire du sixième chapitre des aventures de l?espion James Bond, intitulé Au service secret de Sa Majesté. Tirard l?avoue lui-même, cela n?a rien d?anodin&nbsp;: <em>"Nous avions choisi de traiter Astérix et Obélix comme des super-héros. Et leurs aventures façon James Bond ou Spider-Man."</em> Des gaulois aux airs de protagonistes des plus grands blockbusters venus d?outre-Atlantique&nbsp;? Il fallait y penser, surtout au vu de l?accueil critique plus que glacial qu?a reçu Astérix aux Jeux Olympiques, auquel s?ajoute un succès en salle relativement mitigé avec six millions d?entrées au compteur, bien loin des 14 millions de son prédécesseur (<em>Mission Cléopâtre</em>, supervisé par <strong>Alain Chabat</strong>). <em>"Comme la marque avait été abîmée par la médiocrité du précédent épisode, il fallait la régénérer. " </em>admet <strong>Grégoire Vigneron</strong>, coscénariste du projet avec Tirard. Cette fresque comique, où se côtoient des gaulois, bien sûr, des Bretons et une reine d?Angleterre entre autres, est inspirée des albums <em>Astérix chez les Bretons</em> et <em>Astérix chez les Normands </em>pour tisser son intrigue. Depardieu, non content d?arborer de nouveau la fameuse bedaine qui a fait le succès de son personnage, s?est également exprimé sur ce volet, et sur toute la saga, visiblement déterminé à rempiler tant qu?il y aura du sanglier à abattre. <em>"Je n?aurais pas fait deux cents films dont un certain nombre de conneries si je n?avais pas été Obélix"</em>, déclare l?acteur, qui, en prime, fait part de ce qu?il pense de l?adaptation de Tintin réalisée par <strong>Spielberg</strong>.<em> "Enfant, je ne lisais qu?Astérix. Tintin, je trouvais ça trop bourgeois, je détestais ce chien et ce jeune homme trop bien élevé, ce fouille-merde qui faisait le flic, ça ne m?étonne pas que Spielberg l?ait choisi."</em> Les gaulois investiront les salles obscures le 17 octobre 2012, en relief&nbsp;!

Ainsi que César et sa troupe

<strong>Premier coup d'oeil à Catherine Deneuve et Fabrice Luchini dans Au service de sa majesté. Sans oublier quelques déclarations choc de Gérard Depardieu !</strong> Le magazine <em>Télérama</em> s?est rendu sur le tournage du prochain volet des aventures d?Astérix et Obélix (<em>Au service de sa Majesté</em>) d?où nous parviennent plusieurs visuels et surtout de nouvelles informations. C?est en Irlande que l?équipe a planté le décor pour ce quatrième chapitre supervisé par <strong>Laurent Tirard</strong> (scénariste et réalisateur de Molière et du Petit Nicolas). Pour ce nouvel opus, le cinéaste s?offre les services de pointures du cinéma hexagonal, à commencer par Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, <strong>Jean Rochefort</strong>, <strong>Dany Boon</strong> et bien d?autres, autour de <strong>Gérard Depardieu</strong> et <strong>Edouard Baer</strong>, qui a troqué son rôle d?Otis dans Mission Cléopâtre pour celui d?Astérix. Les fans du plus séducteur des agents secrets l?auront compris, le titre s?inspire du sixième chapitre des aventures de l?espion James Bond, intitulé Au service secret de Sa Majesté. Tirard l?avoue lui-même, cela n?a rien d?anodin&nbsp;: <em>"Nous avions choisi de traiter Astérix et Obélix comme des super-héros. Et leurs aventures façon James Bond ou Spider-Man."</em> Des gaulois aux airs de protagonistes des plus grands blockbusters venus d?outre-Atlantique&nbsp;? Il fallait y penser, surtout au vu de l?accueil critique plus que glacial qu?a reçu Astérix aux Jeux Olympiques, auquel s?ajoute un succès en salle relativement mitigé avec six millions d?entrées au compteur, bien loin des 14 millions de son prédécesseur (<em>Mission Cléopâtre</em>, supervisé par <strong>Alain Chabat</strong>). <em>"Comme la marque avait été abîmée par la médiocrité du précédent épisode, il fallait la régénérer. " </em>admet <strong>Grégoire Vigneron</strong>, coscénariste du projet avec Tirard. Cette fresque comique, où se côtoient des gaulois, bien sûr, des Bretons et une reine d?Angleterre entre autres, est inspirée des albums <em>Astérix chez les Bretons</em> et <em>Astérix chez les Normands </em>pour tisser son intrigue. Depardieu, non content d?arborer de nouveau la fameuse bedaine qui a fait le succès de son personnage, s?est également exprimé sur ce volet, et sur toute la saga, visiblement déterminé à rempiler tant qu?il y aura du sanglier à abattre. <em>"Je n?aurais pas fait deux cents films dont un certain nombre de conneries si je n?avais pas été Obélix"</em>, déclare l?acteur, qui, en prime, fait part de ce qu?il pense de l?adaptation de Tintin réalisée par <strong>Spielberg</strong>.<em> "Enfant, je ne lisais qu?Astérix. Tintin, je trouvais ça trop bourgeois, je détestais ce chien et ce jeune homme trop bien élevé, ce fouille-merde qui faisait le flic, ça ne m?étonne pas que Spielberg l?ait choisi."</em> Les gaulois investiront les salles obscures le 17 octobre 2012, en relief&nbsp;!

Premier coup d'oeil à Catherine Deneuve et Fabrice Luchini dans Au service de sa majesté. Sans oublier quelques déclarations choc de Gérard Depardieu !Le magazine Télérama s’est rendu sur le tournage du prochain volet des aventures d’Astérix et Obélix (Au service de sa Majesté) d’où nous parviennent plusieurs visuels et surtout de nouvelles informations. C’est en Irlande que l’équipe a planté le décor pour ce quatrième chapitre supervisé par Laurent Tirard (scénariste et réalisateur de Molière et du Petit Nicolas). Pour ce nouvel opus, le cinéaste s’offre les services de pointures du cinéma hexagonal, à commencer par Fabrice Luchini, Catherine Deneuve, Jean Rochefort, Dany Boon et bien d’autres, autour de Gérard Depardieu et Edouard Baer, qui a troqué son rôle d’Otis dans Mission Cléopâtre pour celui d’Astérix.Les fans du plus séducteur des agents secrets l’auront compris, le titre s’inspire du sixième chapitre des aventures de l’espion James Bond, intitulé Au service secret de Sa Majesté. Tirard l’avoue lui-même, cela n’a rien d’anodin : "Nous avions choisi de traiter Astérix et Obélix comme des super-héros. Et leurs aventures façon James Bond ou Spider-Man."Des gaulois aux airs de protagonistes des plus grands blockbusters venus d’outre-Atlantique ? Il fallait y penser, surtout au vu de l’accueil critique plus que glacial qu’a reçu Astérix aux Jeux Olympiques, auquel s’ajoute un succès en salle relativement mitigé avec six millions d’entrées au compteur, bien loin des 14 millions de son prédécesseur (Mission Cléopâtre, supervisé par Alain Chabat). "Comme la marque avait été abîmée par la médiocrité du précédent épisode, il fallait la régénérer. " admet Grégoire Vigneron, coscénariste du projet avec Tirard. Cette fresque comique, où se côtoient des gaulois, bien sûr, des Bretons et une reine d’Angleterre entre autres, est inspirée des albums Astérix chez les Bretons et Astérix chez les Normands pour tisser son intrigue.Depardieu, non content d’arborer de nouveau la fameuse bedaine qui a fait le succès de son personnage, s’est également exprimé sur ce volet, et sur toute la saga, visiblement déterminé à rempiler tant qu’il y aura du sanglier à abattre. "Je n’aurais pas fait deux cents films dont un certain nombre de conneries si je n’avais pas été Obélix", déclare l’acteur, qui, en prime, fait part de ce qu’il pense de l’adaptation de Tintin réalisée par Spielberg. "Enfant, je ne lisais qu’Astérix. Tintin, je trouvais ça trop bourgeois, je détestais ce chien et ce jeune homme trop bien élevé, ce fouille-merde qui faisait le flic, ça ne m’étonne pas que Spielberg l’ait choisi."Les gaulois investiront les salles obscures le 17 octobre 2012, en relief !