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Samy Naceri : "Avec ma gueule, je n’ai pas besoin de couteau pour charmer"

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri pousse un coup de gueule contre sa mauvaise réputation

Samy Naceri fait davantage parler de lui pour ses démêlés avec les forces de l'ordre que pour son actualité cinématographique.Mais l'acteur-délinquant en a marre de sa mauvaise réputation ! Le chauffeur intrépide de la franchise Taxi a accordé un long entretien au site Street Press, dans lequel il fait une mise au point et pousse un coup de gueule contre les médias. A 53 ans, Samy Naceri s'estime victime d'acharnement."RTL a écrit que j’avais sorti un couteau à une femme dans un restaurant parce qu’elle avait refusé mes avances. C’est n’importe quoi ! Quand je me regarde dans la glace, avec mes yeux, avec ma gueule, je me dis que je n’ai pas besoin de couteau pour charmer quelqu’un. Et l’AFP qui reprend ! L’AFP, note le bien, c’est la DST des médias", s'insurge Samy Naceri.Lorsque le journaliste l'interroge sur la raison de cet acharnement, il évoque Bertrand Cantat et Joey Starr : "Déjà, contrairement à Bertrand Cantat considéré comme français, je suis un bougnoule. Sauf que je suis né à Paris, donc je suis tout aussi français que les autres. Joey Starr a aussi eu le même genre de problème. Mais je ne pense pas qu’il n’y ait que du racisme, le succès dérange.""C'est devenu une condamnation permanente", déplore celui qui se définit comme une "Tête de Turc" et qui vient d'être relaxé dans une affaire de violences conjugales, où sa compagne a été condamnée à lui verser 1000 euros d'amende.Tout au long de l'entretien, le héros de Raï (1995) décrit avec un naturel désarmant sa première condamnation, son séjour de 4 ans fermes à l'ombre pour braquage ou son achat de cocaïne qui a mal tourné. Pour conclure, enfin, avec ses projets d'acteur : "Il y a deux films qui arrivent. Le premier traite des 50 ans de la libération algérienne. Un second est en cours de bouclage, une coproduction franco-marocaine. Ah, et il y a peut-être aussi un troisième film en 3D, où je cours après un gars de 180 kilos. En fait, je joue un agent secret russe."