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Rencontres du troisième flip ? La bonne idée de Dark Skies (à ne pas confondre avec la série du même nom) est de revisiter le concept de la maison hantée en remplaçant les esprits par des aliens en pleine expérimentation sur une famille californienne, le tout dans une économie de moyens à la Paranormal Activity – le producteur Jason Blum est évidemment dans le coup. À défaut d’être particulièrement novateur, le résultat se regarde comme un épisode intimiste de X-Files et permet de prendre des nouvelles de la sous estimée Keri Russell.
Toutes les critiques de Dark Skies
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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[POUR ] (...) le final, (...) est emblématique de l'émotion qui se dégage de ce "petit" film puisant sa force dans la caractérisation de ses personnages et dans une mise en scène solide et sans esbroufe.
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par Stephanie Zacharek
« Dark Skies » est un film surnaturel mais il est surtout extrêmement « naturel ». Il traite de la fragilité du concept de la famille, une méditation discrète pour nous montrer à quel point cette dernière est précieuse.
la meilleure série B d'horreur vue depuis longtemps.
L’efficace Dark Skies assaisonne à la sauce science-fiction une recette éprouvée. On ne rencontre plus de spectre bougon dans cet opus où une charmante famille américaine est prise pour sujet d’étude par des aliens pas vraiment sympas. Scott Charles Stewart, le réalisateur de Légion et Priest, se régale à faire monter la tension autour de la trop rare Keri Russell.
Le film le plus angoissant de la saison.
Une fin similaire à un épisode médiocre de « X Files »: un peu effrayant, un peu idiot. De la matière juste pour ceux qui veulent bien y croire.
Voici donc le nouveau-né de la fabrique à cauchemars de Jason Blum. Le producteur recycle sa formule : les extraterrestres succèdent aux démons et aux revenants. Malgré cet air de déjà-vu, le film est efficace grâce aux effets minimalistes mais terrifiants, sans oublier le rebondissement final.
Un film d’horreur un peu vieillot mais un modèle soigné de réalisation, des effets visuels efficaces inspirés de différentes sources et plus particulièrement celles de Spielberg.
Dark Skies mêle l'horreur et le fantastique pour un cocktail finalement plus solide que ce que l'on aurait pu prévoir. Car, même s'il n'exploite pas pleinement le potentiel de son projet, le réalisateur réussit à tenir son film en évitant les facilités.
Les fans de films d’horreur seront trouver les raisons pour regarder « Dark Skies » jusqu’au bout même si ils ne louperont rien si ils occultent une scène ou 2.
Un film surnaturel bien orchestré.
Une fiction surnaturelle bien orchestrée.
Stewart a de lourdes ambitions et il en satisfait une grande partie.
Les éléments du film sont utilisés avec une dextérité accomplie.
Retour à la science-fiction horrifique avec une menace extra-terrestre qui se veut réaliste et pesante, tout en n’évitant pas les pièges de la mise en abîme à la Paranormal activity, dont le producteur Jason Blum s’est fait le chantre.
On est donc convaincus par une première partie tout à fait effrayante, beaucoup moins par la suite, lorsqu’il s’agit pour les artisans de ce nouveau remake dissimulé de faire preuve d’une personnalité originale.
une banale série B vintage.
Une part de suspense soigné.
Au final, on ressent le sentiment d’avoir visionné un épisode de « X Files » : un peu flippant et un peu niais pour ceux qui veulent bien y croire.
Retour à la science-fiction horrifique avec une menace extra-terrestre qui se veut réaliste et pesante, tout en n’évitant pas les pièges de la mise en abîme à la Paranormal activity, dont le producteur Jason Blum s’est fait le chantre.
Trop vu, trop entendu...
Pur plaisir de fan boy héritée du Signes de Shyamalan, cette série B très bien troussée, habile mélange entre deux genres, digère ses faux-pas grâce à un premier degré redoutable.
Il y a de très bonnes idées mais pas assez de scènes effroyables.
« Dark Skies » est un thriller qui mixe enlèvement et aliens où les meilleurs scènes ont été arrachées à d’autres films du même genre, mais ceux là étaient beaucoup plus intéressants.
A dire vrai, ce n'est pas surprenant : "Insidious", "Paranormal Activity", "Sinister" et "Dark Skies" sont tous redevables au même producteur, Jason Blum, qui s'est mis en tête de nous refaire le même film chaque année pour mieux arnaquer. Inutile de vous déplacer donc.
Tel un jeu de carte, on croit que le réalisateur les serre bien contre lui pour nous sortir les meilleurs pour la fin mais au dénouement on s’aperçoit qu’il n’en avait au final aucune de valable.
Une fois de plus, Stewart ne saisit pas l’opportunité de réaliser un film intéressant ou utile.
(...) Cette oeuvre, dont les meilleurs éléments sont dévoilés dans la bande-annonce, se révèle vite décevante. Desservi par une trame des plus minces, et surtout prévisible (...), ce huit clos ne provoque que l'ennui.
Le plus gros problème dans « Dark Skies » est que le réalisateur n’arrive pas à se décider sur ce qu’il veut mettre en avant dans l’histoire, ni sur quel personnage se concentrer. Tout est en vrac.
[CONTRE] Scott Stewart se montre incapable de tisser des rapports crédibles entre des protagonistes peu aidés (...) par un scénario tellement faiblard en termes de caractérisation (...) que chaque dispute ou conflit finit par sonner aussi faux qu'un mauvais mélodrame télévisé.
Ce n’est pas parce que “Dark Skies” est affreux qu’il ne faut pas aller le voir... mais parce qu’il est insipide.
Pénible film d’horreur pavillonnaire.
Scott Stewart n'a pas été très inspiré de vouloir imiter la très rentable série des "Paranormal Activity". Le pavillon d'une famille moyenne est donc le lieu d'étranges phénomènes nocturnes, sans autre explication qu'un espoir de percée aux box-office.
Une corvée qui rend perplexe.
Aucune pointe d’originalité mais un bazar intéressant.
Il n’y a pas grand-chose à craindre de ce film insipide
« Dark Skies » est une telle corvée que même les adeptes du genre n’essaieront pas de le défendre.