Toutes les critiques de Deep End

Les critiques de Première

  1. Première
    par Gérard Delorme

    Skolimowski trouve un équilibre miraculeux entre justesse psychologique et poésie visuelle, entre humour et tragédie. Il est tentant d’évoquer les précédentes activités du réalisateur (il a été boxeur, acteur, poète et peintre) pour expliquer l’énergie de sa mise en scène, la justesse de ses choix et de sa direction d’acteurs, son aisance à manier les symboles et les métaphores, tout comme sa maîtrise picturale, notamment dans l’utilisation des couleurs vives. Quarante ans après, le film n’a pas pris une ride.