Toutes les critiques de God Bless America

Les critiques de la Presse

  1. A nous Paris
    par Fabien Menguy

    Une entreprise vaste et forcément jubilatoire, propice à dénoncer toutes les dérives de cette Amérique à la fois “peoplisée” et totalement déshumanisée. Cette fable truculente et irrévérencieuse, à ne pas mettre devant tous les yeux, s’inscrit dans la lignée provocatrice d’autres films américains comme “Chute libre” ou “Tueurs nés”, voire, à un certain niveau, de “Taxi Driver”… l’humour noir en plus.

  2. Metro
    par Marilyne Letertre

    Trash et jouissive, cette comédie indépendante américaine mise tout sur le politiquement incorrect et la provoc. Efficacité garantie !

  3. Critikat.com
    par Vincent Avenel

    God Bless America trouve le ton juste et parvient à aller jusqu’au bout de ses intentions.(...) Sans en avoir l'air, "God Bless America" fait donc office de signe des temps, comme Point limite zéro avant lui : en temps de crise, l'idéalisme et la probité se parent de couleurs inédites.

  4. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    Une charge audacieuse contre une Amérique déshumanisée et décervelée.

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    On s'amuse comme des fous à la vision de ce brûlot détonant et déconnant réalisé avec un budget de misère.

  6. Impact
    par Rurik Sallé

    Si certaines séquences frôlent un doux manichéisme, "God Bless America" évite également la débandade finale en donnant, même dans ses ultimes minutes, dans un jusqu'au-boutisme rare.

  7. Associated Press
    par Christy Lemire

    « God bless America » c’est en grande partie un mélange de « Taxi Driver » , un peu de « Network », de « Fatal Games » (Barr rappelle Christian Slater) et pour finir même un peu de « Kick-Ass ».

  8. Ecran Large
    par Laurent Pécha

    La charge contre l'Amérique et son mode de vie (la télé réalité en tête) est aussi implacable que savoureuse. De la vraie bonne production indépendante qui n'oublie pas d'être aussi un vrai (bon) film de cinéma.

  9. L'Express
    par Christophe Carrière

    On regrettera la première scène, d'une violence gratuite, ou, disons, "tarantinesque", mise en jambes aux antipodes de la suite, où le réalisateur aux critiques percutantes ne prêchera peut-être que des convaincus, mais drôlement brillamment.

  10. Ouest France
    par La rédaction de Ouest France

    (...) une croisade qui se garde bien de départager les bons des mauvais. Si tant est qu'ils existent. C'est terriblement dérangeant, comme du poil à gratter.

  11. Paris Match
    par Alain Spira

    Malgré une mise en scène plutôt low cost et quelques faiblesses, cette ­comédie subversive parvient à remplir son contrat d'exutoire.

  12. Libération
    par Olivier Seguret

    Mais ce rythme à la fois macabre, libérateur et amusant exige une écriture à la hauteur, sans répit, à jets continus. Or, le script ne tient pas le tempo, ne bat la mesure que sporadiquement.

  13. Le JDD
    par Stéphanie Belpêche

    Cette odyssée sanglante totalement foutraque dénonce une société américaine qui perd les pédales. Subversif et jouissif.

  14. Arizona Republic
    par Bill Goodykoontz

    Intéressant, parfois même drôle, mais en fin de compte pas aussi si génial que ça.

  15. Chronic'art
    par Emannuelle Spadacenta

    La dénonciation d'une civilisation déviante - bien que véhiculée par un réalisateur et des acteurs reconnus pour leur esprit satirique - n'est pas forcément claire.

  16. Boston Globe
    par Tom Russo

    C’est l’histoire d’un homme malade en phase terminale qui décide que, si lui doit mourir, il va d’abord se procurer une arme et ramener un bon nombre de personnes exécrables dans l’au-delà avec lui.

  17. Télérama
    par Jérémie Couston

    Ici, la satire tourne au jeu de massacre quand Franck s'adjoint les services d'une adolescente qui partage sa fureur nihiliste. Le couple de justiciers, pris dans une spirale de violence, évoque alors l'équipée sauvage de "Tueurs-nés" d'Oliver Stone, en moins speed et en plus amusant.

  18. Minneapolis Star Tribune
    par Colin Cobert

    Les coups de gueules et élucubrations sont extrêmement drôles, Murray et Barr sont si plaisants qu’on se retrouve à être du côté des « bad boys ».

  19. New York Daily News
    par Elisabeth Weitzman

    Etant donné que le film commence d’une manière intéressante, il est extrêmement décevant de constater que toute la trame du film tourne ensuite autour d’un simple fantasme d’autodéfense.

  20. Public
    par La rédaction de Public

    Une satire réjouissante de la société aùéricaine où tout le monde en prend pour son grade.

  21. Chronic'art
    par Emannuelle Spadacenta

    La dénonciation d'une civilisation déviante - bien que véhiculée par un réalisateur et des acteurs reconnus pour leur esprit satirique - n'est pas forcément claire.

  22. New York Times
    par Stephen Holden

    Le scénario de Mr Goldthwait est une simple comédie, à laquelle il a voulu donner de la consistance en ajoutant une histoire, mais celle-ci n’est pas du tout convaincante.

  23. Les Inrocks
    par Jacky Goldberg

    En résulte un film ni réellement dérangeant, ni vraiment drôle, et d'une laideur visuelle confondante. Parvenir à nous faire regretter "Chute libre" de l'inénarrable Joel Schumacher : il fallait le faire.

  24. Nouvel Obs
    par Bernard Achour

    le spectacle énergiquement emballé de [cette] croisade cathartique finit, hélas, par tourner en rond, au point de recourir au plagiat pur et simple (allô, « Network » ?) pour enfoncer des portes déjà ouvertes depuis longtemps.

  25. Entertainment Weekly
    par Owen Gleiberman

    Le nouveau film de Bobcat Goldthwait commence par un univers burlesque, pour ensuite se transformer en sermon, pour finir en massacre.

  26. Film.com
    par Eric D.Snider

    On a l’impression que Goldthwait a voulu faire la liste des gens qu’il voudrait voir disparaître, ce qui est plutôt drôle mais n’a au fond absolument aucun sens.

  27. Critikat.com
    par Julien Marsa

    God Bless America pourrait facilement postuler au titre du pitch le plus dingo de l’année : Frank, quinquagénaire divorcé, se fait virer de son boulot et apprend qu’il est atteint d’une tumeur au cerveau dans la même journée. Mais au suicide, il préfère éliminer une insupportable lolita de la télé-réalité, et se lance sur les routes avec Roxy, lycéenne délurée, afin de dézinguer tous ces imbéciles de compatriotes américains qui contribuent au déclin intellectuel et moral de la nation. Sur ce pitch explosif, distillant à première vue une verve corrosive et malpolie, God Bless America rentre ensuite insidieusement dans le rang par le truchement d’un discours réactionnaire et schématique.