Toutes les critiques de Nino, une adolescence imaginaire de Nino Ferrer

Les critiques de Première

  1. Première
    par Christophe Narbonne

    Ce biopic imaginaire sur Nino Ferrer est une erreur sur tous les tableaux. Erreur de parti pris (qui se soucie de « l’adolescence imaginaire » du chanteur, artiste incompris et homme blessé ?). Erreur de casting (moins charismatique que le cute David Prat, tu meurs). Erreur artistique (la DV mal utilisée fait vraiment film amateur). Plus David Hamilton du pauvre qu’Éric Rohmer, ce marivaudage estival cheap donne à peine envie de réécouter Nino Ferrer, dont certaines des chansons illustrent maladroitement les états d’âme du héros.

Les critiques de la Presse

  1. Les Inrocks
    par Serge Kaganski

    Rien de plus fragile que les films sur les premiers émois sentimentaux, sujet rebattu. Mais rien de plus beau quand c'est réussi. (...) Le goût du jeu et du risque de la petite équipe, le sens du juste dosage entre humour et tristesse, le regard généreux, modeste et sur la brèche de Bardinet.

  2. Libération
    par Gérard Lefort

    Petit film, comme on dirait Petit Poucet, "Nino" produit un gros effet.

  3. Be
    par Mathilde Lorit

    Malgré une certaine naïveté, le propos et les acteurs font mouche.

  4. StudioCiné Live
    par Thierry Chèze

    L'exercice est casse-gueule, mais après une entame maladroite, on se plonge avec délice dans ce film initiatique et bucolique dont le charme fou évoque l'atmosphère de Rohmer ou de mes Petites Amoureuse, d'Eustache.

  5. 20 Minutes
    par Caroline Vié

    Bardinet a compensé son évident manque de moyens par une fraîcheur remarquable et des comédiens à découvrir : David Prat, Lou de Laâge et Sarah Coulaud.

  6. Critikat.com
    par Nicolas Journet

    Par sa figure mystérieuse, atypique dans la chanson française, Nino Ferrer méritait bien un film. Ce court long métrage n'est peut-être pas forcément celui qu'on attendait, mais en retournant à l'adolescence de la star de la chanson Thomas Bardinet signe un agréable marivaudage à trois.

  7. Télérama
    par Cécile Mury

    Tout ce petit monde fait du vélo, se baigne, s'épie, récite des dialogues très écrits, dans une ambiance presque rohmérienne. C'est pourtant quand le film assume directement l'hommage qu'il séduit le plus.

  8. Le Monde
    par Aureliano Tonet

    Au diapason de son héros inconstant, le film ne sait trop sur quel pied danser, balançant entre les genres comme Nino entre les sollicitations féminines.

  9. Nouvel Obs
    par Nicolas Schaller

    Au diapason de son héros inconstant, le film ne sait trop sur quel pied danser, balançant entre les genres comme Nino entre les sollicitations féminines.