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Un petit faucon quitte le nid de son père protecteur pour goûter aux charmes de Zambezia, la Cité des oiseaux, et tenter de rejoindre l’unité d’élite volante de la métropole. Quelque part entre Rio (version sud-africaine) et Top Gun (version poids plume), ce récit initiatique distille quelques séquences de haute voltige en 3D plutôt enivrantes, mais sans parvenir à sortir de son parcours balisé sur le thème de l’épanouissement personnel au sein d’une communauté (« aucun oiseau n’est une île »). Les gags battent de l’aile et l’histoire ne décolle jamais vraiment.
Toutes les critiques de Drôles d'oiseaux
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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rôle et touchant, le premier long métrage des studios Triggerfish qui vous donne des ailes !
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Ces charmantes petites bestioles très colorées dont les aventures en 3D raviront les petits et leurs parents profitent d’un alléchant casting pour les voix anglaises : Abigail Breslin, la petite fille de « Little miss sunshine » double Zoé, et à ses côtés Jeff Goldblum, Leonard Nimoy et Samuel L Jackson prêtent eux leurs voix et leurs talents à d’autres adorables oiseaux qui n’ont vraiment rien à voir avec ceux d’Alfred Hitchcock !
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Ce premier film du studio sud-africain Triggerfish séduit par la qualité de son animation et l’usage malin de la 3D, qui donne l’impression de voler avec les personnages.
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Un cartoon pour voyager en Afrique, survoler les chutes du lac Victoria et apprendre le respect de la nature.
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On regrette que cette histoire sérieuse manque un peu 'originalité et de méchants bien cernés.
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Ce nouveau récit d'apprentissage et d'émancipation (en 3D relief) évolue sans complexes dans le sillage de Nemo, le poisson-clown désobéissant.
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La provenance de ce long-métrage d'animation est une promesse de nouveauté. L'Afrique du Sud ne s'impose que lentement comme la puissance cinématographique du continent, et Drôles d'oiseaux est le premier essai animé de cette jeune industrie. C'est peut-être cette inexpérience qui explique le conformisme de l'entreprise. Le graphisme des personnages, les ressorts du scénario, l'utilisation du relief ne détonneraient pas à Hollywood. L'histoire de Kai, faucon pélerin élevé dans le désert par un père qui hait ses semblables (sans doute dit-on "ornithophobe"), qui rencontre la société, l'amour et l'aventure dans la cité aérienne de Zambezia ne surprendra que les moins de trois ans.
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Ce dessin animé sud-africain à la fois écologique, épique et initiatique (énième histoire un rien prévisible de jeune héros souffrant d’un rapport conflictuel avec son père) manque des moyens des grosses productions américaines. Mais si le graphisme est parfois fade et mécanique, la mise en scène déploie quelques séquences aériennes particulièrement réussies, amplifiées par un relief habilement employé.
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L’animation en 3D aurait gagné à être plus soignée, mais le scénario déplumant de ce conte africain ne laisse pas une seconde de répit aux jeunes spectateurs.
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Ce film d'animation en surprend guère, et ses gags comme son histoire sont assez plats. Avec un tel thème on aurait aimé décollé davantage.
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Première production d'un jeune studio sud-africain, ce film d'animation séduit par ses paysages et une musique entraînante à base de rythmes africains. La jolie morale finale sauve une histoire assez classique.