Elle s'appelle Ruby

Auteur d’un premier bestseller, un jeune romancier attendu au tournant sèche devant la page blanche. Jusqu’au jour où il se met à écrire sur la fille de ses rêves, qui se retrouve en chair, en os et en petite culotte dans sa cuisine le lendemain. Six ans après Little Miss Sunshine, Jonathan Dayton et Valerie Faris rempilent, avec la main moins heureuse, pour ce petit film indé qui hésite perpétuellement entre comédie romantique très French friendly (au secours, la BO !) et drame « charliekaufmanien », la moitié du cerveau en moins.

Décalé et empli de doutes existentiels, de fantastique, de moments de panique de notre apprenti sorcier, d’humour et de romantisme, ce film original et jubilatoire flirte habilement avec les frontières de notre imagination.

Qui n’a jamais entretenu ce fantasme d’état de toute puissance dans lequel un partenaire imaginaire exauce tout vos souhaits ?

Drôle et sensible, cette comédie s'impose comme le feel good movie de cet automne.

Après Little Miss Sunshine, petit bijou de tendresse, Jonathan Dayton et Valerie Faris réalisent une fable romantique et surréaliste qui revisite le mythe de Pygmalion. La comédienne et scénariste Zoe Kazan (petite-fille d’Elia), qui forme un couple à l’écran comme dans la vie avec Paul Dano, ne manque ni de charme ni de fantaisie. Mais à vouloir préserver une certaine morale, le film manque de causticité et d’audace.

Fait resurgir en vous des questions profondes, des sensations déconcertantes, un ascendeur émotionnel auquel vous ne vous attendiez pas

« Ruby Spark » est un film sur nos interrogations et nos limites, Magique. Rentrez dans l’univers et appréciez.

Jonathan Dayton et Valerie Faris, auréolés à jamais du succès de "Little Miss Sunshine", ont mis en scène cette comédie pétillante et pleine de charme, à l'image de Zoe Kazan.

Kazan n’est pas spécialement belle, elle n’a pas forcément les critères de beauté de la société actuelle. Mais elle a quelque chose d’extrêmement attirant, l’objectif ne se lasse pas de son visage en forme de cœur et de sa petite frange.

Une jolie réinvention du mythe de Pygmalion par et avec Zoe Kazan.

Aucun cliché de comédie romantique cheap, un film beaucoup plus pertinent.

Un joyau pop et mélancolique que n'aurait pas renié Woody Allen.

Telle une pierre précieuse, une comédie romantique bien affutée, élégante avec une lueur éclatante.

Un conte romantique raffiné et envoûtant.

Cette fable sur la création se révèle cruelle pour l'écrivain : son oeuvre ne lui appartient pas.

L'originalité de cette fantaisie très remarquée au festival de Deauville vient surtout de l'écriture de Zoe Kazan et de son pas de deux avec son compagnon.

Un joli conte plein de fantaisie, d'humour et de tendresse. Un film bourré de charme.

Ni l’histoire, ni sa mise en œuvre ne convainquent vraiment. Mais la réflexion autour de l’écrivain et l’angoisse de la page blanche n’a jamais été aussi bien illustrée qu’ici.

Une histoire d’amour attachante mêlant l’écrivain, la fille de ses rêves et la force de sa plume.

Le film est porté par la performance désarmante de Zoe Kazan.

Cette comédie romantique revisite avec brio le mythe de Pygmalion et marque le grand retour des réalisateurs de Little Miss Sunshine.

Oublions ce piètre conte qui confirme que le " second album syndrome ", comme on dit dans la pop, est toujours aussi impitoyable.

Ce film est doux et sucré comme une sucette mais une fois savourée, il ne reste plus rien.

De truismes en banalités, le film consume la force de son sujet et efface la subtilité qu'il porte en germe dans son discours sur les paradoxes de la notion de couple.

(...) le film se résume à une très sage "rom com" moralisante et jamais drôle.

En vain, on guette l'étincelle comique, du rythme ou un peu de vitriol.

Le film, lui, est un catalogue mécanique et sans âme de tout ce qui était à la mode dans le cinéma indépendant américain il y a dix ans : un scénario à la Charlie Kaufman (en panne d’inspiration, un écrivain-star, précoce et asocial, couche sur le papier le portrait de la fille de ses rêves qui, par miracle, prend vie), deux stars un peu has been dans des contre-emplois décalés (Annette Bening et Antonio Banderas en parents hippies), un zeste de francophilie du meilleur goût (la dulcinée speaks french et écoute du Sylvie Vartan)… Au secours !