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Au-delà de ce plan machiavélique, il y a dans ce premier long-métrage de Jean-Pascal Hattu une vraie légitimité à exhiber ces corps abandonnés dans le non-dit. Une formidable histoire d'amour et de désir, dont on oublie vite qui est vistime ou bourreau, soutenue par une distribtion impreccable.
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Comment se rejoindre et se désirer par personne interposée : la mise en scène très sobre du premier film de Jean s’attache à peindre un triangle amoureux confronté au désir, à la frustration, à la jalousie, à l’amour sans contact et à l’amour tout court. Un piège, une autre prison dans laquelle se débattent trois beaux acteurs au talent subtil.
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Un premier film funambule et douloureux, sans soleil ni blabla psychologique.