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Au bout du compte, "Un amour d'hiver" est plein de bons sentiments, assumé et imparfait, mais on ne s'y ennuie pas une seconde (...).
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Un peu voir même un chouillat trop sirupeux, « Winter’s Tale » nous ressort un bon melting-pot de déjà-vu avec de l’amour, du fantastique et le sempiternel combat entre le bien et le mal. Rien de nouveau sous le soleil donc, il plaira peut-être à ceux qui ont aimé le livre de Mark Helprin dont il est l’adaptation…
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Le vétéran Caleb Deschanel signe une direction photo très soignée qui met en valeur autant le New York d'époque que celui d'aujourd'hui. Cela dit, on ne peut quand même pas sauver un film avec de belles images quand l'histoire est à dormir debout.
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Ferme sur ses ambitions mais endormi sur le résultat, ce film ne décolle jamais.
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un film plein de bons sentiments qui tend vers la science-fiction.
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D’un point de vue narratif, un amour d’hiver fait beaucoup de faux pas, la note de sérieux est son point faible, les pointes d’humour sont non intentionnelles. ReelViews, James Berardinelli.
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Le genre de mauvais film qu’on finit par aimer si on s’abandonne et laisse aller nos sens s’exprimer.
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Ce n’est pas seulement cette histoire de magie, de démons, d’anges et de destin prédéterminé qui est ridicule, c’est aussi les personnages qui sont peu convaincants et les dialogues moralisateurs.
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Comme il n’est pas forcément réussi et profondément sincère, c’est facile de se moquer d’un amour d’hiver mais il est difficile de ne pas admirer sa bonne volonté d’aller au bout de sa quête du romantisme.
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Winter's Tale n'est définitivement pas un film d'amour mémorable. Certainement que les plus sensibles verseront quelques larmes dans les moments les plus intenses, mais les plus cyniques pleureront probablement pour que ce supplice cinématographique s'achève enfin (je suis cynique que voulez-vous...).
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S’étant fait la main de réalisateur sur une poignée d’épisodes de Fringe, il met ici en boîte son premier long métrage, et le moins qu’on puisse dire que celui-ci ne faillit en rien à l’image de son auteur, si persuadé d’accomplir son programme avec soin – adapter un roman à succès de Mark Helprin – qu’il en reste à un premier degré lourdaud tel qu’on n’en avait plus vu depuis les années 1990, dans la section « nanar de fantasy intersidéral » (justement, ça parle d’étoiles).
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De cette histoire d'amour éternelle que le réalisateur voudrait nous rendre sensible, ne subsiste qu'un squelette aussi translucide que sa mise en scène, qui se borne davantage ici à une mise en images. Surannée, sans souffle, boursouflée par un déluge de sentiments sublimes auxquels on voudrait croire sans jamais y parvenir (...). Ce, en dépit de la présence au générique de l'actrice hitchcockienne Eva Marie Saint (La Mort aux Trousses), seul miracle d'un film qui – ayant beau continuellement en parler –, en est totalement dépourvu.
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Une aventure fantastique très gnangnan
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Cette lutte du bien contre le mal, cette réflexion de comptoir sur le karma, cette histoire de cœur en hiver... Toute cette tambouille n'existe jamais à l'écran, pas même de façon théorique. Les intentions sont toujours noyées par des acteurs cabotins qui multiplient les grands moments de solitude, les effets spéciaux kitschissimes, les décors en carton-pâte et les répliques à dormir dans un igloo sans peau de bête.
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Si seulement il y avait moins de bouillie et plus de viande dans ce ragôut.
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Les fans du roman rentreront probablement mieux dans cette fiction mais on ne devrait pas être obligé de lire le livre pour aller voir le film.
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Il faudra pousser un petit votre imagination, même beaucoup, pour adhérer au film.
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Une version inefficace de l’amour éternel.
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Un amour d’hiver est grotesque. Allez le voir accompagné uniquement si vous n’aimez pas la personne qui vous suit.
Un Amour d'Hiver