Grâce à son expérience de la scène et des revues musicales, il devient un des principaux artisans de l'époque dorée de l'industrie argentine. Il s'exile en Espagne, après la chute de Perón (1955). Parmi ses films : Maestro Levita (1938), El canillita y la dama (id.), Madreselva (id.), Soñar no cuesta nada (1941), Carmen (1943), Madame Sans-Gêne (1945), Albéniz (1947), Dios se lo pague (1948), Me casé con una estrella (1951), Una muchachita de Valladolid (1958), La Violetera (id.), ¿ Donde vas, Alfonso XII ? (id.), La casta Susana (1962).