Epic : la bataille du royaume secret

Epic un film épique, justement, et surtout un film riche. Riche en aventures entraînantes, en images somptueuses en 3D de cette forêt féerique, et en humour, avec son hilarant duo de limaces ou son chien à trois pattes. Le tout fait certes penser à Arthur et les Minimoys, mais avec la magie d’Alice aux pays des merveilles en plus.

Les graphistes s'en sont donné à cœur joie ! Peut-être un peu trop... La 3D est si poussée qu'elle donne parfois l'impression d'être dans l'attraction Star Tour de Disneyland. Dommage qu'une migraine soit le risque à courir pour voir ce bijou d'animation. Mais qu'importe l'âge que vous ayez, ce dessin animé vous émerveillera et vous impressionnera.

Scènes d’action et rebondissements en cascade, créatures fascinantes et fantastiques, humour et poésie à foison, cette petite merveille, stupéfiante de beauté, est d’'une folle inventivité. Il faut dire que derrière la caméra, il y a Chris Wedge, le réalisateur du premier Âge de glace et de Robots ! Pour cette aventure, au message écolo, il repousse encore plus loin, et avec virtuosité, la féerie de la 3D. Au profit d’'un conte enchanteur de très haut vol, pour petits et grands.

Du travail d'orfèvre à déguster sans se poser de question.

Le scénario d’« Epic » ne déborde pas d’originalité, mais il donne lieu à un traitement où la 3D constitue une vraie valeur ajoutée et sied aux déplacements incessants de ces hommes-feuilles dont les visages de beaux gosses répondent par ailleurs aux standards des canons hollywoodiens. Un second degré à destination d’un public adulte un peu négligé.

Malgré l’influence d’'Avatar, de Chérie, j’ai rétréci les gosses, voire d’'Arthur et les Minimoys, on est saisi par la beauté visuelle de cette fable initiatique enchanteresse qui conjugue aventure et humour avec merveilleux.

« Epic » est indéniablement le divertissement à aller voir cet été et le film de la saison.

Peu originale, la trame ressemble furieusement à celle de la saga d’Arthur et les minimoys de Luc Besson. (...) Mais une mise en scène virtuose, un doublage de qualité et une bonne dose d’humour font de ce film un bouquet beaucoup plus harmonieux que celle de son cousin français.

Plongés au coeur d’une histoire qui va beaucoup trop vite pour leur lenteur, une limace et un escargot, amis dévoués de nos héros, sont les deux trouvailles d’Epic. Leur gestuelle délicieusement flasque fera rire les petits comme les grands.

Une fable écolo de Chris Wedge, l’animateur des studios Blue Sky qui ont produit L’âge de glace et Rio. Du cinéma pour la bonne cause, mais avec un décor et un propos inventifs. Des créatures truculentes dans des aventures agitées.

Chris Wedge signe un conte écolo étourdissant aux scènes d'action vertigineuses.

Un conte écolo magnifique, bourré de trouvailles et d'humour. Un véritable ravissement.

Un peuple de minuscules hommes-feuilles se bat pour la survie d'une forêt : un trépidant conte en 3D, par le créateur de L'Age de glace.

Difficile de passer juste après Les Croods qui a placé la barre assez haut en ce début 2013. Et puis on a tellement l’impression de voir une sorte de prequel à Arthur et les Minimoys qu’au final Epic est certes un divertissement familial qui fait le job, mais sans plus.

Si l'originalité n'est pas au rendez-vous, techniquement on est impressionné par la beauté du film qui, une fois n'est pas coutume, est servi par un 3D immersive et efficace.

L’animation est soignée, l’action trépidante (les poursuites ne laissent aucun répit), et les personnages sont ultra-attachants (mention aux voix françaises Mélanie Laurent et Jérôme Renier). Aucun doute, le spectacle est au rendez-vous !

Une aventure légère dans un cadre forestier qui ne manque pas de charme, mais qui, hélas, oublie de croire à son univers.

L’histoire est trop juvénile et simpliste pour divertir les adultes et le thème et les idées principales sont trop complexes pour attirer l’attention des plus jeunes.

Difficile de passer juste après Les Croods qui a placé la barre assez haut en ce début 2013. Et puis on a tellement l’impression de voir une sorte de prequel à Arthur et les Minimoys qu’au final Epic est certes un divertissement familial qui fait le job, mais sans plus.

Un récit qui n’est peut être pas épique mais un plaisir pour les yeux.

Très joli à contempler et une atmosphère très agréable mais ce film ne nous donne pas l’opportunité de nous engager.

Un divertissement générique composé d’une figure forte, de personnages mièvres et de figures parentales soi absentes soi distraites.

La connexion émotionnelle qui devrait pousser le public à soutenir les héros et huer les méchants ne se ressent pas.

Aussi harmonieux qu’il soit, ce film manque de moments viscéraux et de touches dramatiques.

Les images du film sont suffisamment captivantes pour contenter les petits comme les grands et compenser l’évidence de cette histoire prévisible mais adorable.

Epic est un récit tranquille et sans surprise portant bien mal son nom. Pour autant, malgré son manque d’âme, le film fait montre d’une inspiration burlesque réelle et d’un véritable professionnalisme formel : de quoi parier que les suites éventuelles achèveront avec un peu de chance d’enterrer les Âge de glace.

Avec ses secrets, ses mondes magiques, il y a beaucoup d’éléments pour satisfaire un public jeune, fille ou garçon.

Un récit de quête calqué sur Le Seigneur des anneaux, que sa gentillesse – pour ne pas dire sa mièvrerie – destine aux plus jeunes.

Même les botanistes en devenir trouveront ce film aussi excitant que regarder l’herbe pousser.