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Renouant avec le film de braquage à la française, Éric Barbier retrouve Yvan Attal, sept ans après Le Serpent, pour orchestrer ce nouveau polar au suspense soutenu et aux rebondissements multiples. Avec succès, le réalisateur s’aventure aussi dans la comédie romantique, distillant de cocasses apartés où la fibre comique d’Attal, en séducteur-arnaqueur, fait des étincelles. Et même si l’on regrette que le personnage de la talentueuse Bérénice Bejo soit trop peu développé, c’est le tandem formé par les deux comédiens qui se révèle le vrai bijou de ce casse.
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Notre plaisir est double entre la mécanique bien huilée du « plan » des malfaiteurs et les divers grains de sable qui viennent en gripper les rouages. Il y en a quelques-uns, ainsi que pas mal de faux vrais rebondissements, dans ce polar bien mené et distrayant.
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Sans révolutionner le genre du film de "braquage", Eric Barbier tient en haleine grâce à un récit rythmé, plutôt brillant et de belle taille.
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Éric Barbier retrouve Yva Attal : le résultat est efficace. Entre intrigue sentimentale, coups bas et manipulations, on ne trouve pas le temps de s'ennuyer.
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Efficace et bien ficelé, sans faire beaucoup de carats, son "Diamants" n'est pas non plus un vulgaire zircon.
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Malgré quelques détours par le film de gangsters, cette arnaque à la française reste convenue dans sa forme.
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Le Dernier Diamant joue avec les conventions et s’en détourne parfois. Alors que le genre a tendance à rendre abstrait le « volé » (...), Éric Barbier et ses coscénaristes ont incarné la victime en une jeune et belle femme, fragilisée par un deuil récent. Ce long-métrage (...) renoue avec la tradition hexagonale du film de braquage.
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Avec Bérénice Bejo en experte diamantaire et Yvan Attal en gentleman cambrioleur, Le Dernier Diamant assure le divertissement.
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« Le Dernier Diamant » fait son boulot et nous tient en haleine jusqu’à la fin même si celle-ci est quelque peu bâclée. Histoire d’amour sur fond d’arnaque, pas de quoi révolutionner le cinéma…
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Un scénario malin pour composer un habile divertissement porté par un tandem de charme.
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"Le Dernier Diamant" est une œuvre d’artisan honnête, sans grosse faute de goût, ni véritable génie.
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Une histoire infiniment trop classique mais plutôt bien racontée, plaisamment jouée et mise en scène. Manque ce qui donne vie à une pierre bien taillée : l'éclat...
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Le film d'Eric Barbier utilise tous les ressorts du genre : maquillages, gadgets, rebondissments, violence et sentiments. C'est réussi, divertissant.
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Un Ocean’s Eleven à la française ? Si l’on troque Brad Pitt contre Yvan Attal et Catherine Zeta Jones contre Bérénice Bejo, ça donne Le Dernier Diamant. Si ce n’est que le talent du réalisateur Eric Barbier peine à égaler celui de Steven Soderbergh.
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Une histoire de cœur et d’arnaqueur, donc, qui ne révolutionne certes pas le genre, mais qui, si l’on oublie une fin un peu bâclée, parvient à nous tenir efficacement en haleine.
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Sans originalité dans la mise en scène ni souffle dans le propos, cette œuvre peine à renouveler un genre ultra codifié. Avec sa BO jazzy, ses personnages sans épaisseur et ses répliques appuyées, le résultat s'apparente en effet à un ersatz mal digéré d'"Ocean's Eleven".
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Un casse tout court, dont la bande annonce suffit tant le jeu d’acteur semble faux et improbable. A éviter.
Le Dernier Diamant