Isild Le Besco se fait rare au cinéma. Cette année, c'est en tant que réalisatrice que la jeune soeur de Maïwenn est invitée au Festival de Cannes. Elle vient présenter aux côtés de douze autres cinéastes européens le film documentaire Les Ponts de Sarajevo auquel elle a contribué et qui se trouve hors-compétition.La muse de Benoît Jacquot (Au fond des bois, L'Intouchable, À tout de suite, Adolphe, Sade) était déjà venue à Cannes en 2001 en tant qu'actrice pour défendre Roberto Succo présenté en compétition, et pour lequel elle avait été nommée pour recevoir le César du meilleur espoir féminin.Depuis, la jolie blonde de 31 ans a perdu ses joues de petite fille, mais aussi sa timidité. Elégante dans son pantacourt noir, avec son tee-shirt col V assorti et sa veste bleu canard, des sabots aux pieds, on voit qu'elle a pris de l'assurance avec la trentaine et qu'elle compte bien marcher sur les pas de sa soeur, ovationnée trois ans plus tôt sur la Croisette avec son film Polisse, récompensé par le Prix du jury.Isild n'en oublie pas pour autant la comédie. On l'attend prochainement dans le film Les brigands aux côtés de Tchéky Karyo, Robinson Stévenin et Maximilian Schell.Les Ponts de Sarajevo, projeté ce jeudi 22 mai 2014 au Festival de Cannes hors-compétition, montrent la capitale Sarajevo dans l’histoire et dans l’Europe d’aujourd’hui. Le cinéaste franco-suisse Jean-Luc Godard, en compétition officielle avec son Adieu au langage, figure aussi parmi les réalisateurs du film.La bande-annonce des Ponts de Sarajevo :
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- PHOTOS - Cannes 2014 : Isild Le Besco, jeune réalisatrice mûre et élégante
PHOTOS - Cannes 2014 : Isild Le Besco, jeune réalisatrice mûre et élégante
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