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Fred Carol / FTV France 5
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PHOTOS - Le Magazine de la santé : Michel Cymes, plus fort que les Experts !

Le Magazine de la santé in vivo

Indices collectés

Le Magazine de la santé in vivo

Michel Cymes et Michel Faure

Le Magazine de la santé in vivo

Michel Cymes et l'équipe

Michel Cymes dans la peau d'un Expert !

<strong>Entouré de professionnels, le doc Michel Cymes consacre toute la semaine à la découverte de la médecine légale, dans la vérité de l?envers du décor. Coup d?envoi aujourd?hui avec la reconstitution d?une scène de crime pour Le magazine de la santé, sur France 5. Marie-Anne Gongora, journaliste à <em>Télé 7 Jours</em>, nous plante le décor.</strong> Jeudi 10 mars, au petit matin. Alors qu?il promène son chien, un homme trébuche sur un crâne humain dépassant d?un amas de feuilles mortes. Dans les heures qui suivent, l?enquête policière se met en marche. Un ruban de plastique jaune interdit l?accès à la macabre découverte. Des hommes en combinaison blanche, gants bleus et masque de chirurgien arpentent le terrain avec précaution, à la recherche d?indices qu?ils signalent à l?aide de plots jaunes numérotés. Sous le numéro 11, un long couteau à la lame rouillée. Plus loin, une paire de lunettes de femme, une chaussure très abîmée?C?est pour <em>In Vivo</em> (Le <em>Magazine de la Santé</em>) que, dans le bois de La Chapelle Vivier, près de Cubord, dans la Vienne, on a reconstitué cette scène de crime. Michel Cymes dialogue avec les Techniciens d?investigation criminelle (TIC) de la Brigade Territoriale de Chauvigny. "<em>C?est un promeneur qui a découvert le crâne, ça doit faire longtemps que le corps est là</em>", commente un gendarme. Près de lui, une camionnette contient de quoi réaliser des moulages et des prélèvements biologiques, du matériel de marquage, une tente de trois mètres sur trois pour protéger le corps des intempéries et du regard des curieux.Après les TIC, place au médecin légiste, le docteur Sapanet (<em>voir encadré</em>), qui va nous montrer comment procéder aux prélèvements d?indices corporels : délimitation par des plots du contour des ossements, ramassage des feuilles mortes et de la terre les entourant (ils peuvent contenir des petits os et des éléments essentiels pour l?enquête). On découvre une robe à fleurs présentant des traces de coups de couteau, les ossements des pieds, la mâchoire inférieure, séparée du crâne, mais qui a conservé quelques dents, un os de la colonne vertébrale. Reste à récupérer toute la terre sous le corps.Au terme des investigations, nous apprendrons que le corps de la victime a pu être identifié et a permis l?arrestation du meurtrier (le mari). Mais l?enquête d?<em>In vivo</em> ne se limitera pas à la scène du crime. Michel Cymes vous fera visiter une salle d?autopsie. "<em>J?avais déjà pratiqué ce genre d?exercice lors de mon internat en médecine, mais lors d?une vraie autopsie, on recouvre le visage du mort pour déshumaniser le corps et il devient un sujet d?étude. Une fois recousu, lavé et habillé, le corps redevient un être humain? Si je devais refaire mes études de médecine, je choisirais légiste, c?est un métier passionnant</em>", conclut l?animateur.<strong>Marie-Anne Gongora pour <em>Télé 7 Jours</em></strong>

Le Magazine de la santé in vivo

Délimitation de la scène de crime, collecte des premiers indices

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Michel Cymes et les gendarmes

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Michel Cymes et Michel Sapanet médecin légiste au CHU de Poitiers

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Crâne appartenant au squelette retrouvé d'une femme d'une cinquantaine d'années.

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Délimitation de la scène de crime, collecte des premiers indices

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Michel Cymes

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Michel Cymes et Michel Sapanet, médecin légiste au CHU de Poitiers

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Michel Cymes et l'équipe de gendarmerie qui effectue un premier travail sur les lieux (prélévements, etc...)

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Délimitation de la scène de crime

Le Magazine de la santé in vivo

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Seau pour la collecte des indices

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Michel Sapanet, médecin légiste au CHU de Poitiers

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Une des treize valises de matériel utilisé sur une scène de crime

Le Magazine de la santé in vivo

Seau pour la collecte des indices

Entouré de professionnels, le doc Michel Cymes consacre toute la semaine à la découverte de la médecine légale, dans la vérité de l’envers du décor. Coup d’envoi aujourd’hui avec la reconstitution d’une scène de crime pour Le magazine de la santé, sur France 5. Marie-Anne Gongora, journaliste à Télé 7 Jours, nous plante le décor. Jeudi 10 mars, au petit matin. Alors qu’il promène son chien, un homme trébuche sur un crâne humain dépassant d’un amas de feuilles mortes. Dans les heures qui suivent, l’enquête policière se met en marche. Un ruban de plastique jaune interdit l’accès à la macabre découverte. Des hommes en combinaison blanche, gants bleus et masque de chirurgien arpentent le terrain avec précaution, à la recherche d’indices qu’ils signalent à l’aide de plots jaunes numérotés. Sous le numéro 11, un long couteau à la lame rouillée. Plus loin, une paire de lunettes de femme, une chaussure très abîmée… C’est pour In Vivo (Le Magazine de la Santé) que, dans le bois de La Chapelle Vivier, près de Cubord, dans la Vienne, on a reconstitué cette scène de crime. Michel Cymes dialogue avec les Techniciens d’investigation criminelle (TIC) de la Brigade Territoriale de Chauvigny. "C’est un promeneur qui a découvert le crâne, ça doit faire longtemps que le corps est là", commente un gendarme. Près de lui, une camionnette contient de quoi réaliser des moulages et des prélèvements biologiques, du matériel de marquage, une tente de trois mètres sur trois pour protéger le corps des intempéries et du regard des curieux. Après les TIC, place au médecin légiste, le docteur Sapanet (voir encadré), qui va nous montrer comment procéder aux prélèvements d’indices corporels : délimitation par des plots du contour des ossements, ramassage des feuilles mortes et de la terre les entourant (ils peuvent contenir des petits os et des éléments essentiels pour l’enquête). On découvre une robe à fleurs présentant des traces de coups de couteau, les ossements des pieds, la mâchoire inférieure, séparée du crâne, mais qui a conservé quelques dents, un os de la colonne vertébrale. Reste à récupérer toute la terre sous le corps. Au terme des investigations, nous apprendrons que le corps de la victime a pu être identifié et a permis l’arrestation du meurtrier (le mari). Mais l’enquête d’In vivo ne se limitera pas à la scène du crime. Michel Cymes vous fera visiter une salle d’autopsie. "J’avais déjà pratiqué ce genre d’exercice lors de mon internat en médecine, mais lors d’une vraie autopsie, on recouvre le visage du mort pour déshumaniser le corps et il devient un sujet d’étude. Une fois recousu, lavé et habillé, le corps redevient un être humain… Si je devais refaire mes études de médecine, je choisirais légiste, c’est un métier passionnant", conclut l’animateur. Marie-Anne Gongora pour Télé 7 Jours