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L'auteur n'a que faire du cinq à sept. Il mise plutôt sur l'attente, le désœuvrement, les pauses-cigarette, jusqu'à ce que les personnages s'éveillent et se révèlent. Sans être aussi poétique ou dépaysant que Bagdad Café ou qu'un Wong Kar-wai, Palma Real Motel offre un moment plaisant et apaisant.
Toutes les critiques de Palma Real Motel
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Sur un thème souvent évoqué au cinéma (l'éducation sentimentale d'un jeune homme par une femme plus mûre), Aaron Fernandez réussit à nous surprendre avec ce joli film intimiste et charnel.
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Une œuvre à l’esthétique très poussée qui distille son ambiance avec un vrai sens de la sensualité à fleur de peau. Il manque peut-être un ressort dramatique plus fort pour en faire un incontournable. Au moins Aaron Fernandez parvient à évoquer une éducation sentimentale sans jamais tomber dans la niaiserie ou la fausse nostalgie inhérente à ce type d’exercice cinématographique.