-
Singer trouve un rythme d'enfer. Il multiplie les aventures plus dingues les unes que les unes, à coups d'effets spéciaux étonnants, à l'image de ses précédentes réalisations. Un régal.
-
(...) la saga Marvel s’inflige un scénario cousu de fil blanc et un méchant à la fois grotesque et fade.(...) Difficile de ne pas rester sur sa faim, cependant, quand on se souvient combien le pari de mettre un peu de sérieux sur le popcorn réussissait aux deux précédents.
-
Si X-Men : Le commencement et X-Men : days of future past contenaient plus de reliefs scénaristiques, avec notamment davantage de sous texte-politique,Apocalypse flirte davantage avec le film catastrophe, enchaînant les morceaux de bravoure (et ce, au détriment de la psychologie des personnages).
-
Même James McAvoy et Michael Fassbender (très... shakespearien en Magneto, une fois de plus tiraillé entre le bien et le mal), ont du mal à ne pas être ensevelis sous cette grosse pyramide de mégasuperpouvoirs.
-
Particulièrement abscons, le scénario ne semble avoir été écrit que pour placer un maximum de personnages, tandis que la direction artistique, d’une rare laideur, finit d’enterrer ce petit monde sous des tonnes de gravats numériques mal détourés.
-
Que s'est-il passé pour qu'un blockbuster à 200 millions de dollars ressemble par endroits à une quasi-série Z, avec ces arrière-plans numériques atroces, cette photo dégueulasse (pardon, mais je n'ai pas d'autre mot) et ce production design à faire saigner les rétines les plus résistantes ?