Dimanche, M6 diffusera le cinquième numéro du magazine Capital Terre, consacré à l’eau, « un thème qui nous concerne tous » souligne Thomas Sotto, présentateur de l’émission.
Dans le documentaire Quelle eau buvons-nous vraiment, présenté dans Capital Terre sur M6 le 19 mai à 20h50, Thomas Sotto fait le point sur cette denrée indispensable à la vie. Au cours de ce programme de 120 minutes, le journaliste, qui rejoindra Europe 1 à la rentrée, s’intéresse à l’eau du robinet et les raisons qui expliquent qu’elle soit contaminée par des médicaments. Mais aussi aux solutions qui existent pour en économiser. Un vaste sujet. "On aurait pu faire trois fois 120 minutes" assure Thomas Sotto.Dans ce 5e opus de Capital Terre, les téléspectateurs découvriront un Thomas Sotto modélisé en 3D. Un petit personnage sympathique qui amuse beaucoup le principal intéressé : "Je trouve ça marrant, mais ce n’est pas seulement gadget, c’est au service de la démonstration. C’est une arme pour nous au service de la pédagogie."Très présent sur le réseau social Twitter, Thomas Sotto s’attend à faire rire avec son image modélisée. Mais il s’en accommode : "Sur Twitter, les critiques sont souvent brutales, mais il y a toujours quelque chose à en tirer. D’ailleurs, moi, je ne suis jamais content. On se remet toujours en question. Après, effectivement, le soir où vous vous êtes fait larguer, que vous avez perdu votre boulot, faut pas regarder Twitter ! (rires) Les gens que l’on croise sont toujours sympa, ils trouvent tout formidable. Derrière leur ordinateur, ils disent les choses plus crûment, mais c’est très instructif. Mais il ne faut pas oublier que Twitter, c’est un regard parmi d’autres…""Ce que j’aime c’est que dans Capital Terre, on explique et on montre" ajoute Thomas Sotto. La caméra de l’émission a en effet suivi le journaliste dans les égouts, dans une station d’épuration et de traitement de l’eau en Californie mais aussi en Amazonie. Une façon de travailler différente de celle du Capital "classique". "Capital Terre est très différent, on a la possibilité d’éditorialiser un peu plus. Il n’est pas question de faire culpabiliser, mais on assume notre message. On veut dire "attention, il y a un problème, il faut faire quelque chose". Nous sommes moins neutres que Capital."
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