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Vieille comme le monde, l’histoire du jeune écrivain spolié par son mentor sert de prétexte à ce huis clos étouffant qui ressemble plus à un épisode moyen d’Inspecteur Barnaby qu'à du bon Agatha Christie. Au manque d’originalité de la mise scène (excusable, c’est un premier film) s’ajoute un problème de caractérisation des personnages, dont le manque de relief et d’ambiguïté est renforcé par la bêtise de leurs agissements. À noter tout de même, la présence fragile d’Olivia Ross, qui parvient à tirer son épingle de ce jeu de dupes.
Toutes les critiques de White Lie
Les critiques de Première
Les critiques de la Presse
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Prisonnier de ses références de polar, White Lie emprunte des voies prévisibles, trébuche à la moindre tentative de sortir des sentiers battus – mais peut-être est-ce parce que l’histoire qu’il veut nous raconter est tout autre...
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Si le thème de l'usurpation d'identité couplé à la figure du pygmalion reste séduisant, les dialogues peu inspirés et le caractère prévisible des situations donnent à ce thriller des airs de déjà-vu.
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Un polar plaisant, à l'ambiance victorienne : le manoir semble sorti d'un livre d'Agatha Christie, et les armes semblent provenir d'un jeu de Cluedo.
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Un thriller franco-britannique qui évoque Agatha Christie et le Ghost Writer de Polanski, avec un micro budget qui ne le dépouille pas pour autant de ses propres charmes.
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Là où un thriller prenant se profilait, il ne reste qu'une partie de Cluedo à la limite de la fanfaronnade.
